Prisonniers du désert

Le vieil homme réfléchis...Que faire?il eut un long monologue da sa tête, puis il s'approcha e tsigna:
Eisenhorm...
C'était fait.Il regarda l'homme et dit totu faire:
-Amenez moi arme et armure...Il faut que je vois si je sais encore bien les porter.

"Comment êtes vous si sûrs qu'ils ne seront pas au courant de notre présence, si ceux-ci possèdent un Cristal de Vision ? Ce n'est pas son rôle propre de "voir" ce qui ne peut-être vu ?"
Sergio s'arrêta alors de parler...réfléchis quelques secondes, dans un silence complet, puis reprit à voix basse :
"56 Voyelles et 84 consonnes, pour un total de 140 lettres...Hmm...Je ne signerai que si vous êtes franc avec nous monsieur.

Le vieux corps ridé tortilla ses propres mains et les yeux blanchâtre roulèrent dans leurs orbites Il se leva cependant et griffa son prénom sur la feuille Ses vieilles serres se serrèrent autour d'un cou invisible. Il lui semblait que l'étranglement serait une technique tout à fait à son goût.
"- Et bien... allons-y ?"

L'hôte regarda signer les fugitifs les uns après les autres avec un sourire satisfait. Enfin, il se tourna vers l'étrange homme qui comptait les lettres, un sourcil haussé.
— Votre question est légitime, mais pas d'inquiétude à avoir. Nous allons faire en sorte que le Cristal de Vision se détourne de vous, on ne vous verra pas comme ça. La principale difficulté sera surtout d'arriver jusqu'à lui, la Tour est parait-il un dédale dangereux. Vous serez bien sûr payés en conséquence. Voilà, j'ai été aussi franc que possible. Si vous voulez signer, allez-y.
L'homme tendit son registre vers Sergio sans le quitter des yeux.

Après avoir compter le nombre de signature qui hornaient déjà le parchemin, Sergio saisit la plume qui lui était tendue.
Cela faisait des années qu'il n'avait eu l'occasion d'écrire, hormis dans le sable à l'aide d'un bâton, ou autre. Sable dont il comptait les grains, à l'occasion...

"Bien...je signe"

Il griffona alors son prénom d'un seul trait.

_Maintenant que tout le monde a signé, on pourrait peut etre y aller? Enfin, dès que vous nous aurez fournis quelques armes bien sur.
Alessandro avait hate de partir a l'attaque de ses anciens maitres avec à la main une grande masse...

Qu'avez vous comme arme a nous offrir ? J'espère que vous n'avez pas ses armes orientales étranges. Je comprend rien a ses choses, je veux une hache, une vraie.

Le tiléen regarda attentivement les présents, jeta un coup d'oeil à sa feuille, peut-être pour s'assurer que tous avaient bien signé et sans un mot, il se plaça à l'entrée de la tente.
La seconde suivante, plusieurs hommes entraient et avant même qu'ils aient eu le temps de réagir, les anciens fugitifs avaient les yeux bandés.
— Comprenez que si on vous capture, moins vous en saurez, moins vous pourrez en dire.
C'était leur hôte tiléen qui avait parlé. Il donna un autre ordre, dans une langue étrange et inconnue, et les fugitifs se sentirent emmenés par des bras puissants.
Hanz ne résista pas, il se laissa porter par la force de celui qui le guidait. Il aurait juste aimé voir le ciel, mais il ne doutait pas vraiment que cela tarde. Derrière lui, certains de ses compagnons grognaient d'être ainsi trainé.
Finalement, on les arrêta et leur retira le baillon devant leurs yeux. Ils étaient dans une tente assez sombre, que deux torches seulement éclairaient. On y trouvait de nombreuses armes diverses, toutes des épées ou des dagues, simples ou recourbées, de style impérial ou inconnu.
Hanz se tâta un instant les poignets et, comme ses compagnons, observa les armes.
Il choisit sans hésiter un long couteau recourbé, simple mais semblant efficace.

Alessandro fit partit de ceux qui grognèrent et il se débattit un peu, mais finit par abandonner et se laissa guider (non sans continuer a grommeler). Puis on lui découvrit les yeux et il vit la tente. Ses grommelements s'intensifièrent car il n'y avait pas la moindre masse. Il prit un grand cimeterre a l'aspect meurtrier et qui pesait un lourd poids.
_Bon, eh ben on va faire avec ca, ca vaut pas une bonne masse, mais ca devrait faire mal quand meme.

sergio avait compter le nombres de pas qu'ils avaient fait...une centaine environ, mais sans pouvoir se repérer via le soleil, il ne pouvait dire où ils se trouvaient à présent.
On leur présenta des armes...Sergio choisit une dizaine de couteaux de lancé. Il avait le souvenir d'en avoir utilisé, mais ça remontait loin, trop loin. Il saisit aussi une dague assez tranchante. Elle lui rapellait un peu les stylets de sa Tilée natale...que de souvenirs.

L'ancien noble impériale se tourna vers une bonne vieil épée de l'Empire.Sa voie dans sa tête lui conseilla de faire quelques moulinet,et c'est ce qu'il fit.
Il appréciat la lame de cette épée et se saisit d'une main gauche.toujours utile.
-Vous n'auriez pas d'armure par hasard?

Aidan considérait avec dédain les cimeterres quand son regard s'arêta sur un immense Claymore, ses yeux se mirent a briller quand il se saisit de l'arme d'une seule main comme si il s'agissait d'un jouet d'enfant. Il testa l'équilibre de la lame et constata que son esclavage avais renforcé ses muscles déja impressionants mais en lui enlevant beaucoup de dextérité en contrepartie. Il allais devoir faire avec. il la rangea dans son fourrau plus long que son bras et l'accrocha dans son dos ou le cuir s'harmonisa avec ses tatouages.

Parmi toutes les armes qui s'étalaient sous ses yeux, Mauldred choisit deux cimeterres. Il se souvint que dans le temps il était assez habile à manier une arme dans chaque main, et il se demanda si il se souviendrait des techniques qu'il connaissait jadis.

Il les prit donc tous les deux.


(HRP : Bon, faut imaginer sans la cape et tout le tralala, Mauldred ne porte qu'un pagne d'esclave pour le moment).