Sanglante Traversée

Alors que touts les sectataires s’accusé de traîtrise Dvark plaqua son oreille contre la porte qui les s’éparé des repurgateurs en tentant d’écouté leur conversation pour avertir la secte des mouvements extérieur .
*Encore quelques minutes est nous sommes tous morts* pensa-t-il

[hrp] Décapiter un gars qui est déjà mort ce n'est pas très glorieux, d'autant que son cadavre n'est plus sur l'autel, relis bien connavar. [/hrp]

"Pour l'Empire, frère Otaaji, l'avenir n'a plus de sens. Pour nous en revanche il signifie notre gloire éternelle et celle de nos dieux adorés.
Vous voulez savoir où nous partons ? Nous quittons ce pays misérable, où notre culte est honni, et nous allons chercher d'autres fidèles en des territoires plus propisces. Au Nord ! Nous rassemblerons une énorme armée, je serai alors élu par les Dieux pour mener une nouvelle Horde de la Fin des Temps, et ensemble nous mettrons l'Empire à feu et à sang ! MUHAHAHAHA !
- Frère Mauldred, je crois que vous extrapolez légèrement...
- Hum, oui. Eh bien, tout ce que je peux vous certifier c'est que nous partons dans le Nord pour y faire croître notre puissance."

[hrp]Ba ouais conn', j'ai viré le cadavre et je suis assis sur l'autel moi. Faut apprendre à lire... [/hrp]

Le nain, tranquillement assis regardait les sectateurs s'agiter.
— Quelle manie de parler pour ne rien dire ont ces humains, grommela Khatzar. Et Mauldred qui a la folie des grandeurs. (crie à Mauldred) Oh, seigneur de pacotille ! (pas de réaction, Mauldred a toujours les yeux dans le vague) Eyh, chevalier errant ! (toujours pas de réactions) Mauldred, reveille toi espèce d'écuyer bouseux !
Le chevalier revint à lui et s'avança menaçant vers son compagnon avant de réaliser que c'était pour le faire revenir à la réalité.
— Ouais, bon. On va où alors ?
— J'en sais rien, t'as parlé du Nord mais on attend que l'autre (il désigne du pouce Glurkar qui prie dans un coin) ait fini sa prière. Tss la meilleure prière à faire, c'est au combat qu'on l'a fait !
— J'ai parlé moi ? demanda Mauldred. Etrange, je ne me souviens de rien. Peut-être que les Dieux nous envoyaient un message à travers moi, preuve que je suis de leurs plus fidèles serviteur !
— Calme toi, c'était juste un accès de folie. On attend que machin ait reçu sa réponse et on avise. Et vu la crise de folie que t'as tapé, ce n'étaient pas les dieux qui parlaient. Si ils voulaient parler à chaque fois que tu fais une crise de folie... ils seraient vachement bavards pour des dieux !
— Pfff, jaloux va. Enfin bref, j'espère qu'il va se dépécher.

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HRP
Même si c'est un peu évident, c'est le prêtre qui doit avoir la révélation Maul'. Patience, patience. Cette dernière est une vertue.

Lucia observait de ses yeux noirs les autres membres présents dans la pièce. Apparement ils ne partiraient pas immédiatement, ce ne serait pas un problème.
Elle sortit ses deux longues dagues et les aiguisa un peu mieux qu'à l'habitude.
La porte tramblait...toujours plus

je m'avancai dans la piece;
"si il y a un traitre parmi nous et que vous savez de qui il s'agit, il doit mourir, je ne veu pas d'un traitre pour nous faire raté notre fuite..."

Glurkar se redressa vivement et dit :
— Nous allons vers le Nord. Nous rejoignons les Dieux dans leur Royaume !
Il s'interrompu, perplexe devant l'air satisfait de Mauldred et Khatzar qui faisait mine de l'ignorer. De toute façon la mauvaise foi du nain était telle que toute discussion aurait été inutile.
Le prêtre corrompu s'approcha d'une porte.
— Nous devons partir mais avant, nous allons avoir besoin de l'aide de Ulg-dhaos. C'était un humain autrefois, mais il n'est plus que l'ombre de lui-même. Il a eu la gloire de recevoir en son sein un démon !
Les plus récents arrivés dans le Cercle Privilégié écarquillèrent les yeux. C'était pour eux une chance incroyable. Mais ils auraient du mal à l'expliquer au possédé. Celui-ci sortit de la chambre dans laquelle il était enfermé d'un pas irrégulier, semblant à moitié réveillé. Puis d'un coup il passa à l'attaque et chargea Glurkar qui évita l'attaque et reprit le contrôle.
— Il est un peu imprévisible. Nous devons faire avec. C'est combattant excellent quand le démon prend totalement corps en lui.
Puis il s'approcha du mur et appuya sur trois symboles en murmurant dans la Langue obscure. Il écarta les mains et le mur s'ouvrit. La porte derrière laquelle se trouvait les miliciens tanguait de plus en plus. Elle était sur le point de céder. Glurkar passa le premier suivi du possédé. Les cultistes s'engouffrèrent ensuite. Mauldred et Khatzar formaient l'arrière-garde. Soudain les battants de la porte explosèrent littérallement. Trois flagellants et quatre fanatiques ainsi qu'une dizaine de miliciens entrèrent. Quatre sombres silhouettes apparurent.
*Ils ont sorti le grand jeu. Un paquet de gardes et les Quadruplés de la Flamme...* songea Mauldred
Le passage se refermait mais un fanatique réussit à s'engager dedans avant que le mur ne soit entièrement fermé. L'épée de Mauldred lui transperça la gorge aussitôt, son sang souillant la lame à deux mains.
A l'avant, Glurkar ouvrit enfin la trappe qui menait à l'air libre. Les cultistes sortirent un à un et refermèrent la trappe. Soudain, deux bruits se firent entendre. Tout d'abord une dizaine de miliciens ainsi qu'un flagellant et trois fanatiques sortirent du foin et les encerclèrent (ils avaient débouché à côté d'une écurie).
Dans le même temps, le possédé tomba à genoux. Il avait perdu le goût de l'air libre depuis si longtemps qu'il en reçut un choc. Avec un hurlement qui effraya leurs assaillants, ils se transforma en un espèce d'énorme monstre démoniaque qui se rua sur un sectateur à l'apparence assez banale. L'infortuné cultiste se nommait Boldar BloodBane. Il mourut au premier coup de griffes.
— Intelligente bête, tu as tué le traître, ricana Glurkar.
Khatzar grommela et s'élança vers le groupe de fanatique. Il en repoussa un de son marteau et écrasa la tête de l'autre d'un large coup de marteau.

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Le combat commence, il reste 11 miliciens, 2 fanatiques dont un sonné et 1 flagellant. Pas de grosbillisme, à part Mauldred, le possédé et Khatzar vous n'êtes pas de grands combattants . Bon courage, essayez de faire en sorte que le combat dure autant que sur les autres RP. Pas d'improvisation, on ne s'éloigne pas trop de l'écurie svp. Pour les quadruplés de la Flamme, je ferais un test dessus. Vous allez les voir trop souvent à votre goût, ce sont 4 frères répurgateurs.

Le désir s’empara de Millénia quant elle vit enfin le possédé. Un être sous le contrôle d’un démon… La simple pensée d’une union impie avec cette chose suffisait à enflammer ses sens. Son apparence démente et sa folie furieuse ne contribuer qu’à renforcer l’obscène attirance que la jeune fille ressentait pour cette être.
Obnubilé par le possédé, la rouquine ne put détacher son regard de lui et ne prêta pas réellement attention à leur fuite hors du temple secret. Quant finalement, les cultistes débouchèrent à l’air libre, malgré la nouvelle crise de folie de la créature qui requierait de nouveau son attention, elle remarqua tout de même la venue de leurs ennemis.

D’un mouvement voluptueux, la bretonniene tira de ses jambières deux fines dagues de lancer et les lança gracieusement sur l’un des miliciens qui la chargeait. La première se contenta d’écorcher la joue droite de l’homme mais la seconde s’enfonça profondément dans sa cuisse. Grognant de douleur, le milicien s’arrêta dans son élan pour retirer le projectile, mais il stoppa son geste quant il remarqua que la jeune fille lui fonçait dessus. Paniqué, le serviteur de Sigmar se prépara à parer l’attaque, essayant désespérément de ne pas se laisser hypnotiser par les formes avantageuses de son agresseur. Qu’elle ne fut pas sa surprise quant celle ci, plutôt que d’attaquer, esquiva sa hallebarde et prenant appui sur ses propres épaules se projeta derrière lui.

Le milicien tenta de se retourner mais son cou fut pris dans la sensuelle étreinte d’un garrot. La diablesse, avec un soupir de volupté, resserra sa fatale emprise sur son adversaire. Le cœur battant, celui ci essaya de se débattre mais de sulfureuses pensées envahirent son esprit. Dans son dos, il sentait la douce poitrine de la jeune fille, et elle sentait si bon… Les pensées de l’homme s’embrouillère tandis que la mort l’accueillait en son sein.

Laissant tomber le cadavre au sol, Millénia rejeta sa tête en arrière et poussa un petit hoquet de jouissance. Que ses étreintes offrent le plaisir ou la mort, l’extase qu’elles lui procuraient était la même…

Mob'vekhar renifla à nouveau, avant de faire tournoyer sa faux.
"Allons, que l'un d'entre vous vienne ! Je ne suis qu'un paysan !"
Un milicien chargea, d'abord avec prudence, puis plus vite, entrant dans le périmètre du cultiste sans difficulté. Celui ci se contenta d'avancer d'un coup en faisant un brutal croche-pied. Le milicien sauta par-dessus la jambe qui effectuait un balayage, sans voir le coude entrainé par la rotation du crops qui lui atterit en plein visage. Le milicien recula de quelques pas, sonné, tandis que Mob'vekhar s'écratait de lui , placant à nouveau sa faux entre lui et sa cible.
Le milicien secoua la tête et chargea à nouveau. Toutefois, Mob'vekhar ne le laissa pas passer. Utilisant son habitude de la faux, ilcommenca à tourner en la faisant passer derrière son dos, envoya l'extrémité du bâton dans le ventre de l'impérial et le décapita avec la lame.
Le fidèle de Grand-Père reprit son équilibre en s'appuyant sur son ustensile...

"Ces pauvres Idiots tentent de nous barrer la route...ils vont voir ce qui les attend"
Sur ces mots, Glurkar sasis une dague qui pendait à sa ceinture. Il commença alors a s'entailler l'avant bras, en récitant:
"Les Dieux noirs veulent du sang.
Qu'il coule maintenant.
Alors, selon leur Volonté.
Que leur ennemis se mettent à saigner.

Leurs toute puissance est en Moi.
Et en le Noir Symbole je garde la Foi.
Que mes ennemis meurent a présent.
Puissent les Quatre leur amener le juste châtiment.

Son oeil gauche se mit alors a briller,Une étoile a huit branches s'intillant sous sa paupière.
Deux Miliciens eurent alors l'idée de le charger au moment où Otto terminait son incantation. Ils s'arrêtèrent brusquement dans leur course, leurs têtes se mettant subitement a tourner. Ils eurent des vertiges. Ils regardèrent le sorcier, qui ne les quittait pas des yeux. Les deux hommes d'armes commencèrent alors à saigner du nez, des oreilles et de la bouche, ils crachaient du sang. Leurs visions se troublèrent, ils ne pouvaient plus tenir sur leurs jambes. Ils s'effondrèrent, leurs corps en prise a des convulsions. Il y avait bientôt plus qu'une marre de sang, entourant deux cadavre innanimés.

"Voilà, Leurs volonté a été accomplie. Nous ne pouvons perdre. En avant mes frères, punnissez ces faux croyants !!!"Hurla t'il aux membres de sa secte.

Leopold attendit qu’un des miliciens arrivent. Lorsque l’un d’eux se décida il était près. Il n’était pas un combattant exceptionnel mais il était tout de même soldat et surtout serviteur de Khorne le Dieu du sang et des crânes. Le milicien essaya de le transpercer de sa hallebarde mais Leopold l’évita. Il était déséquilibré et donc ne pouvait pas riposter. Le milicien fit tourner sa hallebarde mais le garde la bloqua et cette fois si pus riposter. Il décapita son adversaire. C’était se qu’il faisait tout le temps lors d’un combat. Il tranchait toujours la tête de ses victimes.
Il était ivre de sang. Et malgré que ce n’était que son commencement chez le Chaos et chez Khorne il sentait l’envie de sang monter en lui. Il lui fallait du sang pour étancher sa soif. Du sang humain.

Ulg se nourissait du cadavre du traître. Une partie de son esprit se demandait encore pourquoi il faisait cela... Mais il semblait l'avoir fait de tous temps...
Lorsque Glurkar prononça son incantation, l'effet fut immédiat et le démon hurla de plaisir. Les Grands Dieux portaient leurs attentions sur le petit groupe de cultistes et rien ne devait les décevoir. Ulg redoubla d'ardeur mais laissa le cadavre en paix, d'autres ennemis attendaient.
Et tandis que les miliciens combattaient au côté du flagellants les sectateurs, les fanatiques reconnurent la véritable nature d'Ulg.
Le sonné se releva pendant que son comparse chargea l'hybride humain-démon.
Criant des lituanies à la gloire de son faux dieux, le fanatique brandit ce qui ressemblait fort à un morgenstern, à la différence des masses qui étaient visiblement les crânes de ses précédentes victimes. Le sang maudit d'Ulg ne fit qu'un tour et le combat s'engagea entre les féroces combattantes. Chacun étant persuadé de sa justesse de foi.
Ulg se débarassa rapidement de son encombrante cape grise et sale, tandis que son adversaire abattait son morgenstern dans le bras du semi-démon. Ulg hurla de jouissance. Le sigmarite, légèrement désenparé, laissa cependant assez de temps au démon pour agir. Son bras valide s'arca et fendit l'air, s'abattant avec violence sur le torse du fanatique, qui lâcha son arme à l'impact. D'une moue, Ulg se débarassa de la masse enfoncée dans son bras. Du sang noir s'écoulait, mais déjà, des cicatrices se formaient et coagulaient le liquide démoniaque.
Le ventre déchiré, le fanatique décida de rendre l'âme à son Dieu, plein d'alégresse, l'humain chargea le démon une dague de cérémonie à la main. Ulg reconnut la dague, étant bénite, elle représentait un danger potentiel. Mais le fanatique perdait trop de sang et déjà ses mouvements faiblissaient. Ulg, qui parait aisément, s'amusa de voir sa future victime se débattre. Mais il fallait en terminer rapidement, car déjà l'autre fanatique, visiblement mieux armé et mieux protègé, s'avançait pour combattre la bête.
D'un revers de sa main - ou plutôt de sa griffe - Ulg entailla le coup du fanatique blessé.
Le sang aspergea le démon et la ruelle. La tête du fanatique se déchira lentement avant de tomber en arrière, puis son coprs s'effondra. Le second Sigmarite semblait plus coriace, mais qu'importe, Ulg était déchaîné et hurla encore pour s'encourager.

***

Il reste 6 Miliciens, 1 Fanatique et 1 Flagellant.
Vous avez le droit de vous faire blesser...

Millénia re-dissimula calmement son garrot dans sa chevelure flamboyante. L’étreinte qu’elle venait de vivre était plaisante, mais ses sens enflammés réclamaient plus, bien plus…
Un nouveau milicien se précipita sur elle, bien décider à venger son compagnon. D’un gracieux pas de côté la bretonniene esquiva la lourde hallebarde. Rugissant de rage, le serviteur de l’empire tenta d’embrocher la diablesse de la pointe de son arme, mais la souplesse de la jeune fille lui permit de nouveau d’éviter l’attaque et de pénétrer la garde de son adversaire. Ebahi, celui ci plongea son regard stupéfait dans les yeux bleu de la cultiste, distant de quelques petits centimètres. Le cœur battant, il remarqua le sinistre éclat d’une dague qui semblait dansait autour de son visage, caressait sa gorge. Une boule se forma dans son estomac tandis qu’il compris que sa longue hallebarde ne lui serait désormais d’aucune utilité, il allait mourir… Le milicien plongea une nouvelle fois les yeux dans le langoureux regard de la jeune fille, au moins aurait il la chance de ne pas mourir sous les griffes d’une bête dégénéré…

A sa grande surprise, la rouquine s’écarta de lui et lui adressa un irrésistible sourire.
« Il ne serait pas juste que toi seul ait le droit de jouir dans ce combat » , lui susurra t’elle d’une voie enjôleuse, « Je ne te tuerais que lorsque tu auras pénétré ma chair, continuons donc de danser ! »

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Citation :

Vous avez le droit de vous faire blesser... blackeye

Au nom de mon Prince, je te remercie.

Citation :

Au nom de mon Prince, je te remercie.

*Squiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiick* J'vais finir par croire que tu me provoques (t'en fais pas ta tête et super agréable à couper, alors je ne vais pas me priver ) [ce n'est pas considéré comme une sanction pour ceux qui se disent que je suis un tyran. Mais on ne parle pas de slaanesh ainsi impunément, vive khaine, non mais oh. ]

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Khatzar grommela un juron en langage obscure (ils les connaissait tous) et s'élança vers le flagellant. Celui-ci d'un grand coup envoya un coup vers la petite forme sombre qui déchira en partie son espèce de grand manteau sombre mais fut arrêté par l'armure. Grognant, il prit son marteau entre ses deux rudes mains et l'abattit de toutes ses forces sur les jambes de l'adorateur sigmarite. Celui-ci s'effondra à terre, le bas de son corps baignant dans le sang. En souriant, il regarda la forme gémissante au sol. Un violent coup de marteau enfonça son crâne entre les omoplates. Le nain du chaos sourit à pleines dents. Les Dieux Sombres étaient les plus puissants, tous comme leurs serviteurs.

Leopold, ivre de sang, chargea lui cette fois ci. Le pauvre milicien qui se trouvait en fasse de lui n’aurait pas autant de chance que celui de Millénia : il ne lui laisserai pas de répits.
Il détestait tout ces slanneshiis qui aimaient se faire traverser la peau. Slaanesh était le pire Dieu du chaos. Leopold avait beau n’être qu’un humain mortel il le haïssait comme la peste.

La hallebarde n’étant faite que de bois au niveau du manche il donna un coup de hache dessus. Mais le milicien écarta son arme et la fit pivoter. Leopold eu beau avoir parer, le coup lui enfonça deux côtes qui se brisèrent sous le choc.
Il lâcha un hurlement de douleur. Le milicien redoubla d’ardeur voyant son adversaire blessé. Mais Leopold n’était pas encore aussi faible qu’un vieillard et le soldat eu tort de se croire le plus fort. Car les Dieux du chaos veillait sur eux. Et Khorne lui donna la force d’abattre son adversaire.
Sa vision était brouillée par le sang. Il était vraiment blessé. Mais il trancha tout de même le bras de son adversaire. Et finalement avant de s’affaler de douleur par terre il trouva la force (on ne sait comment) de trancher la tête du pauvre milicien qui se croyait vainqueur.

Avant de s’évanouir, il dit sous un terrible effort : du sang pour le Dieu du sang, des crânes pour le trône de Khor… et il sombra.

Devant la menace ennemis, Otaaji dissumula son 3ème bras. De ses bras d'origine, il dégaina une dague et une épée, et ce lança à l'encontre d'un milicien.

Ses yeux brulaient comme jamais auparavant, l'exitation du combat créa une lueur quasi éblouissante dans son regard qui déstabilisa un milicien. Le sectataire profita du moment pour attaquer, mais, contre toute attente, un second milicien surgit et para les deux attaques. Otaaji s'élança vers son nouvel opposant, il lança une attaque grossière qui fut prestement stopper puis, de sa main dissimuler, planta sa dague dans le corps de l'adversaire. Le milicien n'avait pas pus prévoir le coups, focaliser sur la main gauche rien ne pouvait lui laisser deviner que le chaotique dissimulait une seconde main droite...

Le coups toucha en dessous des côtes. Apparament le milicien n'était pas mort mais son camarade surgit à nouveau, décider à protégé son compère avec l'espoir qu'un prêtre de Shallya saurait soigner sa blessure. Otaaji para l'hallebarde mais la violence du coups le jetta au sol, à présent il était en position de faiblesse...

je me placai fasse a un milicien, évitant un coup de lance je m'aprochais et lui assenais un coup de marteau sur sa tete qui le fit tombé je me reculai en voyant s'aproché deux autres milicien.

Otaaji vit le milicien lever son arme pour l'abattre un grand coup, mais un bras grisâtre, puissamment musclé et couvert de cicatrices rituelles, se posa sur le cou de l'impérial à cet instant. Le soldat des troupes irrégulières écarquilla les yeux dans une expression de surprise lorsque Mauldred lui brisa la nuque en la lui tordant d'un coup sec, produisant un bruit assez horrible. Le milicien tomba raide mort à terre, son cou formant un angle bizzare avec son torse, et la manche trop longue du large vêtement noir de Mauldred retomba en cachant son bras auto-mutilé.

Un rire machiavélique agita le chevalier déchu et il laissa Otaaji se remettre d'aplomb tandis que lui retourna s'amuser avec ses adversaires.

Millénia avait repris sa danse autour du milicien. Cela faisait tellement longtemps qu’elle n’avait pas eu l’occasion d’effectuer une chorégraphie en l’honneur de sa Divinité. Exécutant un mortel ballet, elle tourbillonnait autour de son adversaire, le gratifiant de douces entailles à l’aide de ses deux dagues effilées, prenant soins de ne pas le blesser sérieusement afin de faire durer le plaisir.

Cependant, son ravissant sourire s’effaça peut à peu. Son malhabile partenaire ne semblait guère savoir utiliser son arme et la hallebarde n’arrivait toujours pas la pénétrer. La frustration de la jeune fille se devina sur son visage, quel piètre amant que voilà ! Pour cette danse, elle aurait préférait mieux. Avec un soupir, la rouquine se décida d’attendre encore un petit peu. Cela faisait trop longtemps qu’elle n’avait pas jouit de l’incomparable sensation d’une lame pénétrant sa chair.

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Sauf erreur de ma part, il reste 2 miliciens (dont 1 contre Millénia) et 1 Flagellant, non ?

Ezekiel avait prié trop longtemps (nan mais c'est quoi cette manie de poster 3 pages les jours de cours!!) Et se jeta enfin dans la mélé.
N'imaginant pas que l'esprit de Millenia était aussi tordue (et après plusieurs prière, la pensant digne de mériter la réponse à la question qu'elle lui avait posée page 1 )
sauta le pied en avant sur son millicien.
La surprise eu son effet et le millicien fut progeté à plusieurs mètres de là, démontrant la puissance de l'ame du guerrier. A peine retombé, son homologue attaqua le nouveau venu avec sa hallebarde. Ezekiel bloqua le coup avec son bras griffue et posa deux des doigts de sa main restante sur le plastron du millicien, adressant silencieusement une prière au noir, alors que le pauvre humain perdait lentement son ame. Ezekiel le lacha, avant qu'il meur, se préparant à recevoir une partie des survivants.

(1 millicen et 1 fanatique donc)
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Désolé Millenia, mais tout les perso ne connaissent pas tes penchants slaaneshis )

Dvark sortit son épée avec rapidité car un fanatique l’avait chargé. Le fanatique de Sigmar fit tournoyé sa masse dans les aires et frôla de peu la joue du sectateur. Le Sigmarique lui donna alors un violant coup de point dans la mâchoire et Dvark trébucha par la violence du coup, il se releva avec agilité et tenta d’un mouliné de lame de trancher la tête de son adversaire. Le flagellant se baissa mais ne pu malgré tout évité la lame. Sa Tête vola dans les aires suivit d’une traîné de sang traçant un arc de cercle.

Mob'vekhar fut jeté à terre par un coup de hallebarde. Il se releva péniblement, prenant appui sur le manche de sa faux, et tourna la tête pour jeter un regard noir, mais malgré tout un grand sourire, au milicien éberlué. Mob'vekhar exultait. Une nouvelle fois, la blessure ne lui faisait rien... elle suppurait juste légèrement d'un liquide jaunâtre.
"Amusant, non ? Allons, viens si tu veux te battre contre moi... A moins que tu ne veuille nous rejoindre ? Tu verras la joie que l'on éprouve à ne ressentir ni douleur ni peur... Pour la Gloire de Grand-Père..."
Mob'vekhar s'était malgré tout placcé en position de combat, faux passée dans son dos, tenu à une extrémité par la main droite, la main gauche juste posée sur le manche, lame vers le haut, prête à trancher... Le milicien jeta un coup d'oeil au Répurgateur et décida de ne pas risquer les foudres de cet homme. Il chargea donc.
Mob'vekhar lui adressa un sourire de carnassier et passa sa main gauche sous le manche, utilisant l'appui pour essayer de découper le milicien, qui esquiva, avant de se prendre le bout du manche dans la mâchoire ; Mob'vekhar avait laché la main droite et avait fait pivoter son instrument de la main gauche. Puis il envoya le même bout dans le ventre du milien, qui se plia en deux sous l'impact, et le coupa magistralement en deux après avec fait retomber son arme telle un couperet... Et se retrouva avec la hallebarde du milicien dans le flanc, s'étant approché trop près.
Avec un sourire, le fidèle du Seigneur de la Déchéance ôta l'arme impériale et s'appuya sur son arme, plus touché qu'il ne voulait l'admettre...

[hrp]Sorivan, en téorie, tu ne peu pas te jeter sur tes adversaires puisque il n'y a plus personne à tuer (si je compte bien) et (de mon avi personel) ce serait pas mal que tu parles à la 3ème personne puisque le roleplayer ne s'identifie pas à ton personnage (mais au sien)[/hrp]

Khatzar regarda les morts. Ils s'en étaient bien sortis. Il regarda Mauldred se diriger vers les chevaux et en détacher pour chacun. Le nain du chaos poussa un juron. Il n'aimait pas les chevaux. Le possédé avait de la chance d'avoir son corps parce qu'il pourrait aller tout aussi vite, mais Khatzar devrait monter sur le cheval de Mauldred.
Une fois chacun en selle, ils partirent au galop dans les rues de la ville... Mais les Quadruplés n'avaient semblait-il pas laché l'affaire et la milice entière les attendait à chaque coin de rue ou les poursuivait.

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C'est parti pour une folle échappée

Leopold souffrait horriblement de ses deux côtes briser sur son cheval. Il parvenait tout juste à tenir en selle. Et il pensait qu’il ne tiendrait plus longtemps.

Foutu canasson. Dit-il d’une voix sourde. Combien de temps allons nous chevaucher comme ça ?je… il n’y a pas de médecin ?

[HRP] Mon bonhomme a deux côtes cassées alors je me demande comment il fait pour tenir sur un cheval… [/HRP]

"Il faut nous diriger vers la Reikwald ! Nous devons sortire de la cité "
Glurkar regarda son bras gauche qui saignait abondement, mais il commençait déjà a cicatriser. Regardant ses cultistes, il pensa *Certain sont peut-être digne de l'intérêt que leur confère les Dieux, on pourra surement en tirer quelque chose*...
Il continua a cheuvaucher, on pouvait entendre les miliciens hurler un peu partout dans les rue de Nuln, ils étaient à leur pursuite...