Voyage vers les Terres du Sud

Gurulb regarda ses compagnons et dit:
-Ouais il est temps de devenir riche! alors c'est où qu'on va???
Se levant il s'étira et alla ramasser son lourd sac de voyage, près à partir ou à aller dormir selon les ordres...

"Oui c'est vrai ça ou on va?"
Je sort alors une besace de sous ma cape et y prend une flasque
"Alcool maison sa tente quelqu'un?"

Hérihor's Editage:
Fait gaffe à l'Ortho, et aux Majuscules, je corrige cette fois mais fait gaffe...

"Nous partons pour les Terres du sud, mais veuillez signer le registre d'inscription monsieur ! Et pour le départ, ne soyez-pas si hatif, nous devons pas partire avant demain matin, allez donc dormir un peu..." Dit heinrich tout en continuant à boire.

Mandrek se leva d'un bond et se dirigea vers le gros marchand :
— Vous ne souhaitez pas partir demain j'espère ?
— Mais si mon bon ami, gloussa son corpulent interlocuteur, pourquoi voudriez-vous retarder le départ ?
— Vous n'avez rien dans le crâne ? questionna le sombre personnage. Demain c'est le treizième jour du mois. Vous voulez vous attirer les foudres de Manann ?
Le marchand le regarda, sidéré.
— Allons bon, ce ne sont que superstitions. Ne vous inquiétez pas, tout ira bien.
Mandrek se dirigea vers la porte brisée et se préparait à sortir quand il se retourna.
— Moi je vais faire des offrandes à Manann pour apaiser sa colère, je vous conseille d'en faire autant !
Il sortit sous les gloussements des aventuriers et les hochements de tête approbateurs des marins.

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Bon alors je suis de retour. Primo pas de précipitations, le départ aura lieu samedi prochain dernier délai, probablement avant. Nous sommes peu pour l'instant aussi attendons un petit peu. Hérisson et moi faisons de la pub.
Secundo, les récits sont faits à la troisième personne et aux temps du récit (imparfait, passé simple, plus que parfait) c'est bien mieux pour la lisibilité. Merci.
Tertio, un ogre je suis d'accord, mais pas plus. On est en manque d'humains là, on est quand même dans l'empire je vous rappelle.

Voilà, bravo à tous, c'est déjà bien.

L'ogre vit que l'homme ne rigolait pas...
-Pourquoi faut qu'on parte demain si c'est dangereux??? on part après demain c'est mieux, et vous l'marchand, vous nous dédomagez la journée de perdue, qu'en dites vous vous autres?

Un frisson alerta Stobermann. Comme une présence. Le corpulent humain se retourna et se retrouva face à une étrange apparition. C’était une humaine, une robe blanche couvrait son corps mais l’étoffe laissait deviner ses formes avantageuses. La pâleur de la peau de la jeune fille contrastait de manière violente avec la noirceur abyssale de sa longue chevelure. Ses grands yeux d’un rouge mystérieux semblaient perdu dans la contemplation du registre.
« Qui, qui êtes vous ? » Le marchand eu toutes les peines à articuler ses mots face à l’apparition brutale de l’étrange humaine. Il ne lui semblait pas l’avoir vu rentrer dans l’auberge.
Elle tendis le doigt vers le registre.
« Vous voulez venir ? » Stobermann s’étrangla presque. « Ce n’est pas possible ! Vous êtes beaucoup trop jeune ! »
Une éternité sembla s’écouler et finalement sa mystérieuse interlocutrice ouvrit enfin la bouche. Sa voie était si faible qu’il du tendre l’oreille pour saisir ses propos :
« Vers votre destination
Me portent les flots du destin
Pourquoi, je ne sais, mais ici m’a mené sa main
Dans le refus ne doit pas vous mener l’obstination
Car déjà votre accord est écrit
Et pour mon aide, je ne réclame nul prix ».
Puis elle s’éloigna pour s’installer à une table non loin.
Il s’aperçu alors qu’il avait machinalement saisi le registre pour y inscrire un nouveau nom.

Néant.

FFFFUUUUUUUUIIIIIIIIIIIIIIIII PING

"-AÏE! Flute alors ça fait mal une pantoufle!"

ZZZPOINGGGG PAF
De l'interieur de la chambre de l'aubergiste, maints objets volèrent en direction du pauvre halfling oppresser.

"-Hey c'est bon j'é compris! J'me casse!" PAF "OUAÏE! T'i met pas non plus l'n'oreille pointues!"

En une fraction de seconde, le petit être avait réussi à traverser l'auberge pour évité la masse toujours grandissante d'ustensile qu'il se prenait dans la tête.

"-Hurf... Hurf... Z'ont dit qu'ils z'étaient prêt à partir... J'prendrais bien d'l'eau de vie moé: TAVERNIER TOURNER GENERALE! C'EST L'EMPLOYEUR QUI PAYE!!!"

"Je n'aime pas vos manière semi-homme, mais vous me faites bien rire ! Allez tournée générale !"
Les mercenaires burent alors et commencèrent a discuter, pour mieux se connaître. En effet, partir à l'aventure, sans un groupe soudé serai suicidaire.

La jeune femme faisait un peu peur à Heinrich Comment l'avait-elle le forcé a écrire son nom ?
*Elle pratique surement la magie ou même la magie Noire...* se dit Stobermann.
L'étrange tirade qu'ellle avait pronomcé semblait indiquer qu'elle avait une sorte de mission divine et cela n'échappa pas à Heinrich. Il chassa alors ces idées de son esprit, pour en revenir à des choses plus sérieuses

"Bon, pour le départ, nous partons demain, c'est décidé et personne ne contsete cette décision...Ce ne sont que des balivernes de marrins saouls ! Et je ne vais pas laisser ces idioties dicter notre façon d'agir...Non mais ! Vous partez demain, ou vous ne partez pas !"
Heinrich regagnait son calme, sa décision était prise, nous partirions demain...

Gulurb dit en finissant d’un trait son verre qu’il partait demain et que s’il n’y avait aucun problème, l’étrange homme en noir le déomagerais….
*Tous les moyens sont bons pour être riche*
Ils commençaient à être un bon petit nombre, certains étaient étranges, d’autres plutôt rigolos, Tout à coup, dans un grand bruit la chaise de l’ogre craqua et il s’effondra par terre sous les rires de ses camarades.
Après une petit hésitation il dit :
-Eh bien comme ça je suis à votre hauteur !
Et tous partirent d’un rire agréable, la soirée s’annonçait sympatique…

Assis au bar je me retourne et rgole doucement devant l'absurdité de l'ogre. Finissant ma bière, je tourna mes yeux vers la nouvelle arrivante.
*Hum pas mal..."
Je me lève et e rapproche d'elle.
"Comment vous appellez-vous ? Nous pourrions faire plus ample connaissance. Je me nomme Filentrad mais vous pouvez m'appeller Fil'."

La mystérieuse jeune fille ne sembla pas noter la présence de Filentrad. Elle regardait d’un air fatiguer un verre d’eau poser à sa table. Lentement, elle mis son index dans le verre puis commença avec son doigt humide à faire le tour de la chope. Il en résulta un bruit désagréable, aiguë, sans cesse variant. Elle plaça alors son doigt au-dessus du récipient. Lentement une goutte d’eau s’écoula et retomba dans son élément d’origine. Les yeux rouges contemplèrent les remous de l’onde un long moment avant que les lèvres ne s’entrouvrent pour laisser s’échapper un murmure :
« Connaître ce qui n’existe pas est impossible
Ma forme n’a pas besoin de nom
Mais choisissez en un parmi la multitude possible
En attendant que la Mort de sa présence me fasse Don »

pendant ce temps je continuai de vider des chopes de bierre sans faire attention au autre mais je me levai soudain et dit:
"bon elle est bonne votre eau minérale mais sans blague vous avez pas quelque chose de mieux?"

Le halfling ayant bu plus qu'il n'en fallait se retrouva totalement saoul en quelques minute seulement! C'est se qui arrive lorsqu'on essaye de boir autant qu'un ogre...

Le nez rouge, la démarche bancale, le semi-homme aux pied poilus sauta sur le comptoir, tomba, ce releva reesseya et fini par monter. Alors toute l'assistance avait les yeux braquer sur lui. Le petit être se mit alors à danser frénétiquement une chopine à la main tout en chantant une chanson paillarde:

"-Enfant des bords de l'Aver,
J' n'ai qu'un tout petit défaut,
C'est d'aimer chanter et boire
Ça n' nous fait ni froid ni chaud
L'Ancien Etienne est mon patron
Et chacun dit sans façon :

A la tienne Etienne
A la tienne, mon vieux !
Sans ces garc's de femm's
Nous serions tous des frères
A la tienne, Etienne,
A la tienne, mon vieux!
Sans ces garc's de femm's
Nous serions tous heureux !

Ma moitié qui n'est qu'un' buse
Vient toujours, c'est son secret,
A tout's les fois que j' m'amuse,
Me chercher au cabaret
En riant d'un tel potin
Tous me dis'nt le verre en main :

A la tienne Etienne
A la tienne, mon vieux !
Sans ces garc's de femm's
Nous serions tous des frères
A la tienne, Etienne,
A la tienne, mon vieux!
Sans ces garc's de femm's
Nous serions tous heureux !

Coiffer ma femm' d'un' calotte
Je n'aurai p't-êtr' pas raison
Surtout qu'ell' port' la culotte,
Comme on dit à la maison ;
Mais j' suis né bon paysan
Et j' vas m' soûler en disant :

A la tienne Etienne
A la tienne, mon vieux !
Sans ces garc's de femm's
Nous serions tous des frères
A la tienne, Etienne,
A la tienne, mon vieux!
Sans ces garc's de femm's
Nous serions tous heureux !

Elle vient de mettre au monde
Un moutard solide et beau
Il a la peau rose et blonde,
Moi, j' suis noir comme un corbeau ;
Mais quand j'ai vu tant d'émoi
Je suppos' qu'il est à moi !

A la tienne Etienne
A la tienne, mon vieux !
Sans ces garc's de femm's
Nous serions tous des frères
A la tienne, Etienne,
A la tienne, mon vieux!
Sans ces garc's de femm's
Nous serions tous heureux !

Pour montrer que j' suis un homme
Parfois je m' fâche, emballé,
Aussitôt la gueus' m'assomme
A grands coups d' manche à balai
Et j' m'en vais clopin-clopant
A l'auberge en répétant :

A la tienne Etienne
A la tienne, mon vieux !
Sans ces garc's de femm's
Nous serions tous des frères
A la tienne, Etienne,
A la tienne, mon vieux!
Sans ces garc's de femm's
Nous serions tous heureux !

Quand délaissant la colombe,
Au cim'tière, je m'en irai
Point de discours sur ma tombe
Mais pourtant j'exigerai
Qu' mes bons amis d'autrefois
Vienn'nt chanter tous à plein' voix :

A la tienne Etienne
A la tienne, mon vieux !
Sans ces garc's de femm's
Nous serions tous des frères
A la tienne, Etienne,
A la tienne, mon vieux!
Sans ces garc's de femm's
Nous serions tous heureux !

je me leve alors et j'atrape le halfeling et l'endor d'un coup de point sur le crane
"voila comme sa y se taira"

A ce moment entra dans l'auberge une silhouette dans une ample cape. Cette silhouette ôta sa capuche, ce qui écarta les pans de sa cape : une bande de tissu pour tout vêtement sur sa poitrine étonnement parfaite, un corps sublime, un pagne long retenu plutôt bas qui cachait à peine des cuisses galbées juste ce qu'il fallait. En desosus de sa capuche était un superbe visage, encardé par des cheveux blonds sombres descendant jusqu'à ses délicates épaules. Ses yeux verts, veinés de bleu, semblaient de temps en temps pétiller d'or. Et sa bouche sensuelle laissa filtrer une voix ensorcellante lorsqu'elle demanda une chambre...
Puis ses yeux parcoururent la salle, notant avec interêt quelques présents, ainsi qu'une sublime jeune fille...

Mandrek fit son retour dans l'auberge avec discrétion. Il revenait du temple de Manann, le Dieu de la Mer. Mais il doutait que cela suffirait à apaiser sa colère. Il remarqua cela dit deux splendides femmes, une humaine et une elfe qui étaient arrivées, sans doute pour le travail.
*Elles feraient mieux de se choisir une carrière mieux disposé à leur physique, les voyages ne sont pas pour les femmes*, songea-t-il. [Mandrek est relativement macho, mais ce n'est pas mon point de vue je rassure ces dames.]
Retournant dans son coin sombre, il regarda désabusé les pitreries de ses compagnons. Au moins seraient-ils utiles...

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Voilà, voilà, le gars associable revient dans l'auberge. Un petit détail, les elfes ne sont plus interdits mais je préfèrerais d'autres races... Parce que y en a à peu près autant, voire plus que d'humains (j'ai pas compté mais bon...). Alors c'est pas logique, on est dans l'empire quand même. Un empire à majorité humaine... et avec plus de nains que d'elfes (d'ailleurs y a pas de nains raseur pour faire chier le monde, c'est pas cool )

Wolfen

Je regardais d'un air de plus en plus désapprobateur toute cette réunion.
*Pas moyen de s'amuser ici, quand aux femmes elles ont l'air plus coincés qu'autre chose. Enfin ce n'est que le début on verra bien après.*
Je m'approcha d'Otaji et Sorivan.
"Hey du calme vous deux pas la peine de se tapper ! Laissez le chanter s'il le souhaite, vu comme il est ivre vous ne pourrez rien y faire. Prenez l'exemple de Mandrek même si il est pls supersticieux queles caprices de la mer."
Je tourne légèrement la tête et lui adresse un sourire entre ma chevelure.

"Tiens j'ai une idée! Ca vous dit des petits combats pour s'échauffer ?"
Je dégaine alors ma lame, aussi rouge que le feu et défis les personnes autour en m'attardant sur les deux belles femmes...

Gurulb se releva et emprunta poliment l’épée de fil’ pour s’en servir de cure-dent sous les yeux désabusés de son propriétaire…

Pui il se dirigea vers Mandrek, qui venait de revenir et observait le dueliste.
-Seigneur vous semblez le seul à savoir réellement quels danger nous allons découvrir, si vous avez besoin d’aide, n’hésitez pas, je sais être intelligent…
Puis se retournant et voyant l’air stupéfé de ses camarades devant tant de sérieu de sa part il ajoute :
-J’ai réusii à faire une phrase correcte sans de l’aide à personne !!!!
Et les regards retournèrent sur filentrad.

Heinrich finit sa chope de bière et s'essuya la bouche d'un revers de la main. Il sortie son épée, et dit:
"Messire elfe, je suis votre homme *Hick*. Je suis près, mais faite attention a vous, je sais parfaitement me servir d'une arme..."
Sur ce, le marchand pointa son arme vers son adversaire...attendant sa mise en position.

L’Ordre refluait pour laisser place au désordre et les aventuriers qui se trouvaient dans l’auberge dansaient la chaotique danse de la vie. Ogre, elfes, halfeling et humain étaient anormalement réunit dans ce lieu et commençait déjà à se chercher amicalement querelle, désirant ardemment briser la monotonie de leurs existences. Et pourtant, ils ne faisaient que jouer la partition en continuelle évolution qui avait été écrite pour eux.

La jeune fille jeta un coup d’œil vers leur fougeux employeur puis replongea dans la contemplation du verre d’eau.

"Voyons un peu ce que vous valez au combat!"
Je cvhargea alors mon adversaire en effectuant quelques tourniquets bien placés au niveau de la tête et des pieds en fixant avec attention l'arme de mon adversaire.
*Il tient bien son arme pour un ivrogne. Je vais peut-être pouvoir enfin m'amuser...*

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Le premier combat commence. Vu qu'il n'y a pas encore de règles établis et que je ne sais pas comment vous voulez qu'on gère ça, je vous laisse la parole Wolf et Héri.

Parant les multiple coups de son adversaire elfe, Heinrich tenta un contre attaque en faisant glissé la lame de son compagnon le long de la sienne. Puis, d'un brusque mouvement de poignet, la repiqua vers la poitrine de Filentrad. Comment allait réagire son adversaire ?

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Pour ce qui est des combat, je ne sais pas, faut voir avec Wolfen...

Voyant l'habileté de mon adversaire, je ne tenta pas une esquive mais fit couler rapidement la lame jusqu'à la gorge de Heinrich tandis que celui-ci la plaçait à ma poitrine.
"Héhé si tu croyais m'avoir aussi facilement. Pose arme ou j'appuie mon coup!"

Mandrek se désintéressa bien vite des deux idiots qui faisaient 'mumuse' avec leurs cures-dents. Il répondit d'un hochement de tête à l'ogre. Il méprisait sa stupidité mais ses muscles et ses trois mètres de haut pouvaient être un atout précieux. Cependant il se montra très intéressé par la jeune fille étrange qu'il avait repéré. Regardant le groupe de musiciens sur scène, il se rapprocha d'elle au point de pouvoir respirer à plein nez son parfum et lui murmura à l'oreille :
— Une danse t'intéresse ma jolie ?

L'elfe décida de suivre le rythme de la musique. Elle alla poser sa cape sur une chaise, s'attirant des quolibets obscènes, en réponse auxquels elle rougit légèrement et lanca :
"Si vous voulez voir, rendez-vous ce soir dans ma chambre..."
Puis elle se mit à danser, d'abord lascivement, puis une danse de plus en plus sauvage, malgré tout emplie de grâce et en rapport avec la musique...



[HRP]Je met en avatar un dessin de Varda dès que j'en fais un satisfaisant...[/HRP]