Le douzième talisman

Dés qu'il senti la flamme de l'outil diabolique près de sa cheveulure tant choyée, Vladimir se dégagea brusquement et recula d'un pas. Une lueur franchement malsaine dans les yeux. Il porta la mains a la poignée de son épée mais se ravisa. Sa dague glissa vivement de sa manche et il la tendit sous le nez du prêtre défroqué. La flamme de l'alume bûcher brillait vivement sur la lame d'acier légèrement denté.
"J'apelle cette dague Harpie, et elle contrairement a mes cheveux, elle est a l'épreuve du feu..."

Le noble semblait avoir perdu son calme, néanmoins, il n'esquiça aucun autre mouvement agressif. Toutefois un observateur avisé pouvait constater qu'il était agité de léger mais répété tremblements le long de l'échine.

Mue par un vieux réflexe, Nergal se plaça aux côtés de Von Hein.
Mais il se ravisa et rangea ses lames dans leurs fourreaux.

-Doucement, messieurs.

L'hérétique était venu se mettre entre les deux hommes, refermant
sa main droite sur la dague de Vladimir, tandis que de la gauche il éteignait
la flamme sigmarite. Du sang se mit à couler sur son poignet droit tandis
qu'une odeur de chair cramée commençait à se faire sentir, mais Nergal ne
semblait pas s'en soucier.

-L'impatience nous gagne...je suis comme vous, cette inaction me rend
nerveux et agressif, mais essayons de raisonner. Notre employeur désire
peut-être que nous nous entre-tuons...ça fait moins de monde à payer,
et les survivants auront prouvés qu'ils sont assez fort pour la mission qu'il
nous a confié.

Regardant chacun des volontaires.

-Nous formons deux groupes...d'un côté il y a mes amis et moi, qui avons
combattus ensemble et avons acquis des habitudes....et de l'autre il y a
vous, qui ne vous connaissiez pas avant cette mission. Il est normal qu'il y
ait des tensions entre nous, mais nous allons devoir travailler ensemble
pendant une durée indéterminée.

Nous allons devoir nous faire confiance pour mener à bien cette quête.
Commençons par faire connaissance.
Je suis Nergal et voici Gurdil, Maro, Aedril, Euclycide et Von Hein. A vous!

-Mon nom est Indjanalaye Jean !Si vous ne conaissez pas encore mes pièces très connu dans le milieu théatrale c'est alors que vous ne saviez pas que les nains aimaient les elfes !Sans oublier mes prouesses héroique que tout mon public tel vous a eu vent dans le pays ...Bon j'en ai pas en tete là mais... Ha! et sans oublier mes compétences linguistiques et de persuasion mais je ne préfererais pas m'éterniser sur mes multiples compétences que je serais obliger de... AIE! qui a lancé ces cailloux??

Vladimir retira délicatement sa dague et lècha le sang qui la couvrait avec une ostensible délectation. Soudain, la lumière s'éteignit dans ses yeux et le tremblement cessa.
"Veuillez m'excuser, je n'aime pas que l'on porte ateinte a mes cheveux. Je me nomme Vladimir et je voyageais sans compagnie. Cependant je ferais un effort."
Il ne put résister à la tentation d'asticoter un peu plus le fanatique.
"Et peut être qu'un jours, nous trouverons l'origine de votre traumatisme."

Varagué c'était réveillé avec un mal de crâne, mais il entendit les présentations. Il se releva.
*Ca fait mal, je reprendrai plus de ces champignons hallucinogènes, ça donne mal au crâne!*
_Aïe! Moi c'est Varagué, je vais libérer ce peuple de l'oppression des puissants! A part ça, je me sert bien de mon arme. Quelqu'un connait des remèdes contre le mal de tête?

- Quand t'as la gueule de bois faut boire de la bière tout de suite!

Gurdil s'y connaissait plutôt bien en mal de crâne, l'éducation des nains passait par là. Aussi il avait pris nombre de cuites lamentables. Cela n'avait pas été en vain, à présent il buvait comme un vrai nain et faisait la fierté de son père dans les repas de famille.

- Ya un maître de savoir nain qui a dit que le mal de crâne arrive quand le sang commence à remplacer la bière dans les veines. Donc il faut contre-attaquer en buvant à nouveau jusqu'à ce que tu ne sentes plus la douleur. Hein? A t'as pas bu? Bah...Ouais mais non ça marche quand le même, de toute façon faut boire pour oublier.

Regardant tout ses compagnons,le hors-la-loie sortie une rapière et effectua quelque passe
"Signum von Carnlein,Bandit de Grand chemin a mes heures perdu aprés un léger problème avec mon père....J'ai appris le maniment des armes dans le plus pur des style de la noblesse....Et mes deux "amis",montre ses deux psitolets,ne me quitte jamais...."
Signum sourit,puis rangeant ses armes

-"Friedrich Von Hein, dernier survivant de la Confrérie de Saint Immol, au service de Sigmar et de votre rédenmption, messieurs..."
La révérence maniérée exécutée par le fanatique ne fit qu'accentuer l'effet produit par son sourire mi sadique, mi hypocrite alors qu'il balayait la compagnie du regard.

-"Et quand à cet employeur, reprit-il, s'il veut que nous nous entretuions et bizn soit... Mais il sera l'un des premiers à bruler..."

-Magnor-

-Aedril Liadon, mercenaire et...euh...emprunteur à longue durée.
L'elfe s'inclina gracieusement. Peu être un peu plus bas que necessaire dans le but inavouable d'appercevoir le but de tout les aventuriers ne faisant pas partie de sa compagnie.

Dangorn s'était finalement assis par terre pour cuver.

- Moi c'est Dangorn de Castagne, chuis un chevalier bretonnien en quête du... parbleu, j'ai oublié comment qu'ça s'apelle... le machin où on peut boire un coup, là... à c'qu'on dit c'est du Bordeleaux millésimé dedans mais en fait personne le sait à part les chevalier du G... du Graal ! Oui c'est ça, le Graal !

Après une gorgée de sa gourde, il continua.

- Je suis membre de la Confrérie des Mercenaires du Reikland, vous savez. C'est pas que ça me fait plaisir de déshonnorer mon blason en m'abaissant à la condition de chien de guerre, de vil paltoquet se battant pour l'or des gens louches, de maroufle sans foi ni loi, mais c'est une question d'honneur justement qui m'a poussé à le faire... bref j'vais pas vous raconter ma vie...