La Lance du Hiérophante

Keltoï lui tendit une bourse, lui fit signer le registre et lui résuma la situation.
— Si tu as d'autres questions, adresse-les au vieux.

_Le monsieur aux haches veut bien les ranger a condition que le monsieur qui apparait de nul part s'excuse et le traite poliment!
La Hache le regardais d'un air assez furieux... Les haches toujours en l'air...
[pas de ma faute, mon perso est sencé être suceptible! Et violent... Donc je ne répond plus de mes actes si il ne s'excuse pas!]

Djed signa maladroitement le registre avec un morceau de charbon trop petit pour sa main gigantesque et s'adressa au timbré aux haches :
"- Que vous m'excusiez je vuex bien, mais à propos de quoi ? Je ne vous ai rien fait, à vous. Par contre il est évident que je présente mes plates excuses à Cette charmante dame, ou demoiselle, à qui j'ai dû, sinon faire peur au moins causer la surprise...
Sinon... racontez moi ce que vous avez fait depuis que vous vous êtes rejoint et surtout expliquez moi ce que vous devez faire..."
Djed, tendit les mains, paumes ouvertes vers le plafond en penchant la tête en signe d'interrogation...

_Grrmbl...
La Hache range ses armes et s'écarte.
_Demande au demi-elfe... Grmbl...

Quand Keltoï eut tout expliqué au nouvel arrivant, il se tourna vers le groupe.
— Personne n'a d'autres questions ? Si non, nous allons partir, il n'y a pas de temps à perdre !

"En effet, il nous faut partir sans attendre. Pour ma part, je suis près aux voyage. Mais combien de temps serons nous partit ?"

*Il ne faudrais pas qu'on meure de faim en route.*

Djed rangea ses lames et déclara d'une voix forte en ouvrant les bras :
"- Allez hop ! On y va !"

Ulrich regarda son groupe puis il dit"Personnelement je pense qu'une visite au temple de Morr serait utile...Nous pourrons faire bénir nos armes et en apprendre plus sur ces vampires"

"Au culte de Morr... Ouai pourquoi pas... Mais on est pas onliger d'y aller à Marienburg hein, ya d'autres temples aux alentours... Et puis faudrait pas trop s'attarder..."

Comme la plupart des idiots notoires, Klaud avait du mal à mentir. Le ton de son discours laissait sous entendre une raison dissimulée...

Le colosse d'airain sentit une sueur froide lui couler dans le dos.
"- Je pense comme mon camarade.... inutile de s'attarder d'avantage... on... ahem... trouvera plus loin un temple..."
Puis plus assuré :
"- En plus j'aime pas cette ville, pas assez hospitalière."

"Je crois bien qu'il y un sanctuaire de Morr a quelques kilomètres de la porte Nord. Ce Dieu n'êtant pas très aprécié, ils préfèrent ne pas avoir leur lieux de culte en pleine ville."

*Les gens n'y connaissent rien. Aux yeux des plus extrèmistes, les prètres de Morr sont des nécromanciens.*

Keltoï haussa les épaules.
— Pour le voyage, je ne sais absolument pas combien de temps ça durera. Peut-être deux semaines, peut-être un mois. On verra bien, on rencontra sûrement des auberges et des villages en route.
Il regarda la carte de l'historien.
— D'après la carte, ça devrait faire deux semaines. Quant aux vampires, gousses d'ail et eau bénite, ça ira. Rendons-nous au Temple de Morr.
Le petit groupe partit donc en saluant le vieil historien et partit pour le Temple de Morr, qui était sur leur route. Le prêtre supérieur salua Ulrich respectueusement et dit :
— Que me vaut l'honneur de la visite d'un groupe de mercenaires ? Morr n'est pourtant pas très apprécié...

Je laisse à Ulrich le soin d'expliquer la situation (sans donner trop de détails bien sûr) à son confrère.

Tobias grommela dans sa barbe inéxistante. Dire que des gens ignoraient l'existence des démons et des vampires. Et maintenant, il se trouvait dans un temple de Morr. C'était en dessous de tout. Demander a ce pitoyable dieu au ventre mou de les aider a combattre des vampires, ca le démangeait, mais bon tant qu'a faire, si ca suffisait a rassurer les personnes que Keltoï avait engagé, pourquoi pas après tout...Il adressa une courte prière a son dieu mystérieux en écoutant les bavardages ineptes du vieux pretre. Par un effort d'auto discipline, il réussit néanmoins a faire preuve de plus de sinon tolérance, du moins d'indulgence...

Ulrich salua avec respect le père supérieur et dit:Nous devons faire un voyage pour...Tuer des énemis de Morr...
-Je vois répondis le vieil homme,celui-ci sortie un enscensoir d'un coffret et commença à faire un longue prière...L'odeur de l'encen qui étair trés agréable sembla quelque peu appaiser la fatigue des aventuriers...,voilà,c'est fini...Le viel homme regarda les mercenaires,Morr est un dieu bon...
-Nous le savons mon père...Mais,que pouvais vus nous donner comme conseil face aux vampires,questionna Ulrich
-Eh bien,il existe plusieur lignée...Laquel vous intéresse??
-Dragon de sang et Nécraque...
-Les dragon de sang exelle dans le corps à corps et les nécraque dans la nécromancie...Surtout prenez garde au dragon de sang...Il peut prendre apparence Humaine!
-Autre chose mon père?
-Et bien mon fils...Les vampires ne peuvent traverser de cours d'eau...Doivent boire du sang,ne supporte pas le soleil...Et craignent l'eau bénite!!Voilà,c'est tout je pense...
-Merci mon père!
-c'est normale!Allez sous la protection des Dieux!!Et surtout,Le visage du prêtre devint alors emplis de colère,renvoyez ces créatures dans les Abysse de L'Enfer!!!!
-Nous le ferons mon père..."

Les aventuriers repartirent alors

Keltoï lui aussi n'avait absolument pas vu l'intérêt d'aller voir un vieux prêtre qui ne faisait que répéter ce qu'il savait déjà. Mais on lui avait appris que le moral des troupes était plus important que tout, aussi il laissa le groupe qu'il avait engagé se faire rassurer.

***

Après quelques jours de marche sans incident, au détour d'une grande route, huit bandits sortirent des sous-bois. Ils semblaient assez sûr d'eux pour que ce soit inquiétant, de la part de petites frappes comme eux. A leur suite sortit un autre bandit, leur chef. Grand et massif, il s'approcha et gronda :
— On n'va pas faire dans l'cliché alors laissez tous vos objets d'valeur ici et déguerpissez, vous êtes sur les terres de Rupert le Sombre.
Les mercenaires sortirent leur arme en silence et chacun se prépara au combat. En un instant, les adversaires se jetèrent les uns sur les autres.
Le demi-elfe se précipita tout de suite vers le corpulent chef de bande qui avait dégainé deux épées courtes. Les deux adversaires se dévisagèrent, sans se soucier du reste des combats...

L'un des brigands dont le courage et la bravoure mériteraient d'être chanté 1000 fois se couvrit de gloire en fonçant vers le membre du groupe a l'apparence la moins dangereuse : Gaël.
Celui-ci empoignat son bâton a deux mains et se prépara a recevoir son ennemis.
Il y a deux types de gens qui manient le bâton. La première moitié voit l'intérêt du bâton dans sa longueur. Généralement, ils le pointent devant eux dans l'espoir que l'action se passe au bout, c'est a dire le plus loin possible.
La deuxième moitié a réussit grâce a un peu d'entrainement a maitriser l'arme de bout en bout et est capable avec force tournoiements de prouesse assez spectaculaires et même parfois efficaces.
Gaël se réclamait fièrement de la deuxième catégorie.
Au moment où le brigand arrivait a porté d'épée de Gaël, le bout du bâton de ce dernier heurta son pied, stoppant net sa charge. Redressant brusquement son arme, Gaël frappa juste au dessous du menton. déchaussant quelques dents. C'est a peu près a ce moment là que le brigant ne sut plus très bien ce qui lui arrivait. Il avais sous estimé son adversaire et il s'en mordait les doigts, ou la langue plutot. Il sentit son genoux craquer puis il sombra dans l'inconscience.
Gaël jugeat que le corps crachant du sang a ses pieds n'était plus une menace et il recula prudemment. L'enchaînement de coup qu'il avait effectué était efficace mais l'avait essoufflé.

_Ah, enfin de l'action! Raaaaaaaaaaah!
La Hache se jeta sur le premier brigand avec un grand cri sauvage. Il para le coup d'épée de son adversaire et fendit son bouclier d'une puissante attaque. L'épée fit un revers que La Hache esquiva en se fendant avec dextérité et lui assena un coup de hache dans le ventre qui s'ouvrit sous le tranchant. Laissant le cadavre gire à même la terre nue, il chercha un autre ennemi. Il en trouva un prestement, qui le blessa à la hanche, mais la riposte ne se fit pas attendre et il forca son adversaire à reculer. Grâce à un puissant coup, il le blessa au bras. Les deux opposants face à face se regardaient maintenant fixement, parés à attaquer...

Ulrich sortie alors deux stylets tiléens de sous sa bur.Un bandit s'élanca alors sur lui.Le prêtre de Morr esquiva les coups avec un facilitée étonnante;continuant son attaque le bandit commença a s'éssoufler et à ce moment là,quand le brigant bessa sa guarde,Ulrich fit un mouvement de rotation et donna un violent coup de lame dans le bras du brigant.Celui-ci,nullement affaiblit par le coup rechargea Ulrich et sa vie s'écoula lentement lorsque les deux dagues se fichèrent dans son corps...Mais,un second bandit arriva derrière le jeune Homme et planta son épée dans son dos...Le coup eut put être mortelle si le prêtre ne se serait décalé juste à ce moment.La lame entailla le bras d'Ulrich qui poussa un térrible Hurlement...Il était désarmé et bléssé face à un bandit en bine forme et armé...Voyant qu'il allait bientôt rejoindre la demeur de son "boss",Ulrich s'appréta à recevoir l'assaut.Ulrich cria:"Approche misérable!!!"




Si quelqu'un veut venir me sauver la vie,cela sera avec plaisir

Gaël n'était pas un spécialiste du sauvetage in extremis. Mais il allait faire son possible. Il bondit en poussant un cris presque impressionant a bien y regarder et fit tournoyer son bâton suffisament vite pour forcer l'homme a reculer d'un pas. Mais celui là avait l'air habitué au combat et il para les coups de Gaël avec facilité. Les coups de Gaël ne parvinrent pas a briser sa garde. Essouflé, Gaël se mit en garde défensive, trop essouflé pour continuer a utiliser son style dynamique.

La Hache recu un coup sur la hanche, mais cela était voulu, car malgré la blessure, il en profita pour taillader le visage. Son adversaire poussa un hurlement de douleur quant il sentit son oeil se fendre. La Hache avit un style de combat auto-destructeur mais efficace. Il profita de la douleur de son opposant pour lui asséner un coup sur la nuque. On entendit un craquement, et le brigand s'effondra. La Hache, malgré ses blessures, cherca un nouvel adversaire. Voyant le prêtre et le barde en dificulté, il se jeta sur leurs adversiares. Il ne put les blesser, maisils s'étaient retournés, et ripostèrent violamment. La Hache recut très rapidemment des blessures et ne tarderait pas à succomber, mais ses adversaires tournaient le dos aux autres...

Profitant qu'un de ses adversaire lui tournait le dos, Gaël se livra à un acte ni très héroïque ni très romanesque. Il le frappa violement sur le crâne. Le brigand, ne portant pas de casque fut sonnée par le coup et Gaël rassembla ses dernières resources d'énergies pour le frapper dans le dos avec l'extrémité de son bâton.

*Par Sigmar, comment font les autres pour être aussi endurant, j'ai déja un point de coté...*

Klaud avait beau être un milicien, il s'était peu battu dans sa vie. Préférant à la lutte l'intimidation. Néanmoin, il avait appris une chose: l'union fait la force. Ainsi il se plaça juste derrière Jaelhryna, pouvant ainsi s'abriter derrière sa coéquipière en cas de nescessité...

Les chefs des deux groupes s'observaient en silence. Puis, soudainement, le massif Rupert se jeta sur le demi-elfe avec une agilité insoupçonnée. Ses lames ne touchèrent cependant que l'air, son adversaire ayant parfaitement esquivé. Il se lança à nouveau à l'attaque, accélérant encore ses mouvements. Keltoï évita plutôt bien les coups, sans utiliser son côté jusqu'à ce qu'il soit pris à revers par le bandit. Il roula sur le côté pour éviter la majeure partie du coup mais reçu néanmoins une légère entaille au côté.
Ils se jaugèrent de nouveau du regard et cette fois ce fut le demi-elfe qui attaqua, faisant danser son épée longue partout où le hors-la-loi ne l'attendait pas. La riposte ne se fit pas attendre et le vrai combat commença, les assauts se succédant à un rythme effréné.
Trouvant que le combat durait un peu trop, Keltoï utilisa une de ses "bottes". Il se fendit en se penchant légèrement sur la droite, ouvrant ainsi son flanc gauche. Le chef des brigands s'en rendit compte et bondit dessus, pour s'apercevoir trop tard que le demi-elfe avait légèrement bougé pour esquiver l'attaque et était désormais en position de force.
La tête du bandit vola et atterrit un peu plus loin. Keltoï se retourna pour observer ses mercenaires combattre. Les assaillants ne s'était pas encore rendus compte de la mort de leur chef.

Gaël observait une prudente manoeuvre de regroupement vers ses camarades (comprenez qu'il fuyait a moitié). Il eut le temps d'observer la botte du demi elfe et se promit mentalement de lui consacrer une ode. Mais pour l'instant, sa harpe, bien que de petite taille constituait plus une gêne qu'autre chose. Voyant que le demi elfe n'avais pas d'adversaire, il s'en raprocha dans l'espoir de s'éloigner un peu des combats.

Djed sortit ses deux lames et s'approcha d'un des brigands en lui souriant. Ecrasé par la masse du colosse celui ci hésita à attaquer. Finalement il chargea, sabre au clair, tentant d'éventrer le noir. Ce dernier recula, la lame de son adversaire recontra le vide, mais celle du titan entailla profondemment le poignet du bandit tenant l'arme. Une gerbe rouge se répandit sur le sol et le malandrin lâcha son arme, les tendons sectionnés. Le noir lui sourit en s'approchant de lui et le prit au collet en le soulevant de ses deux bras. Le bandit saisit un poignard dans sa botte de sa main gauche mais sa position inconfortable fit qu'il n'entailla que l'épaule de Djed. Ce dernier tordit violemment le poignet de l'homme qui hurla. Il le lâcha ensuite et sa lame vint sectionner les tendons de la cheville. Enfin Aleph se pencha vers l'homme en lui soulevant la tête et il lui dit de sa voix profonde :
"- Allons allons, c'était une mauvaise idée, vot'e chef au'ait dû s'en rend'e compte. Héhé... j'ai peu' que vot'e poignet d'oit ne soit pas en état de ma'che avant un moment... Alo's maintenant qu'avez vous à di'e ? Ap'ès p'omis je vous laisse..."