La Lance du Hiérophante

Grace à l'action de Gaël, La Hache n'avait plus qu'un adversaire, et se jeta sur lui. Après quelques passes d'armes, La Hache recu un coup sur le genou, mais asséna à son adversaire une blessure au bras. Il repoussa à grands coups son adversaire, et ils furent bientôt à quelques metres l'un de l'autre. La Hache lanca alors son arme en plein visage de son opposant. Celui-ci, surpris, ne l'évita que difficilement et ne put se protéger de la seconde. Il s'effondra assomé et blessé. La Hache allla récupérer ses deux armes et acheva son ennemi. Il avait accumulé de nombreuses blessures et recula s'adosser à un rocher d'un pas chancelant. Il reprit son souffle et regarda le combat, avec la ferme intention de ne pas y retourner sauf pour ce défendre, et cela lui serait difficile.

Klaud n'avait pas franchement envis de rencontrer l'adversaire, mais le seul bandit qui restait (HRP: ai-je bien compter?) se dirigea vers lui à sa coéquipière.

Klaud poussa Jaelhryna sur l'adversaire. Surprise, Jaelhryna parvint tout de même à se stabiliser juste à temps pour éviter de se faire découper par le bandit. Klaud profita de la diversion pour planter son épée dans l'oeuil droit du brigand. Ce dernier s'effondra au sol, l'attaque l'avait épargné mais il était évanoui.

HRP : je crois que c'était fini à partir du dernier mort de la Hache

Djed tonna :
"- Ouah ! Bonne mise en jambe ! On s'en 'efe''a des commes ça !"

Conquis par l'entousiasme de Djed, Gaël félicita les membres du groupe de leurs superbes combats et se promis mentalement de s'attaquer à la composition de la chanson pour célébrer leurs exploit dés ce soir.

"Nous avons un prisonier on dirait..."
Dit il en se tournant vers l'homme que Djed avait maîtrisé.

Keltoï s'approcha de ses hommes en essuyant sa lame tâchée de sang avec un chiffon sale. Il regarda le prisonnier, contempla, comme à regret sa lame nettoyée et trancha la tête du dernier, devant les regards ébahis de ses mercenaires. Reprenant son chiffon, il entreprit de nouveau d'essuyer la lame.
— Ce n'étaient que de vulgaires bandits, en aucun cas envoyés par nos ennemis. Il ne nous servait à rien.
Il se retourna et commença à repartir jusqu'à ce qu'il se rende compte que les autres le regardaient toujours. Il poussa un soupir exaspéré :
— Si on l'avait laissé en vie, il aurait parlé de nous et je préfère qu'il n'y ait pas trop de monde qui sache où nous allons. Et si ça ne vous suffit pas, pensez à tous les enfants et les femmes qu'il avait égorgé. Maintenant partons.

Djed replia son doigt et essuya ses lames avec sa phalange, en prenant garde de ne pas se couper. Il n'aimait pas tuer pour le plaisir et le bandit était maîtrisé mais il ne dit rien et gronda en haussant ses épaules massives :
"- Bon bah... allons-y, toute façon il n'au'ait sans doute pas pu su'viv'e avec les deux poignets cassés..."

Klaud ne dit mot. Après une rapide inspection des cadavres de certains bandits sur lesquelles il trouva à peine quelques pièce, il se remit rapidement en route avec le groupe.

*Le malheur des uns fait le bonheur des autres*

La Hache continua sans commentaires, c'était un honnète brigand mais avec deux poignets cassé, autant le tuer. Il reprit donc la route, d'un pas légèrement chancelant et lent à cause des blessures. Il trébuchait aussi, mais réussissai à suivre, bien que n'étant pas en tête...

Ulrich commença a soigner ses plaies,puis il s'approcha des cadavres des bandits...Il fit une rapide prière de sortes qu'ils aient bien dans le royaume de son mâitre...Puis se tournant vers ses compagnons"Ceux qu'ils veulent,j'ai quelque connaissance en médecine...Donc si vous avez une blessure légère..."

La Hache s'approcha de lui, et lui montra son importante collection de blessures.
_Alors?

Gaël essayais de ne pas vomir. La vue du sang en trop grande quantitée le répugnait. Et ce crime froid et cruel... Ce Keltoï ne parrait pas très romanesque...

*Je n'ai pas a me plaindre, je ne suis pas blessé.*

Le grand colosse noir s'approcha de La Hache et siffla :
"- Et beh ? Ah ce 'ythme là vous tiend'ez pas jusqu'à la fin ! héhé ! Mais si vous avez besoin d'aide je se'ais là !"
Puis vers le barde... :
"- Allons allons ! dép'imez pas ! Chantez nous une bonne vieille chanson et faites pas cette tête..."
Il éclata de rire et lui donna une grande claque sonore dans le dos.

Gaël, sonné par la forte poigne du géant noir tenta de reprendre son souffle alors que les cordes de sa harpe vibraient dans son dos. Puis, il se redressa et décida qu'il était temps de montrer un peu ses talents de vocaliste. Il allait devoir chanter a capella, sa harpe ne pouvait pas être utilisé en marchant. S'éclaircissant la voix, il entonna un chant ancestral simple mais efficace. "Le retour des héros victorieux". Le chant était mélancholique et empreint de douceur, il racontait le retour au foyer des survivants d'une bataille. Mais voyant que l'émotion et la nostalgie n'avaient que peu de prise sur ces rudes compagnons d'armes, il enchaînat presque sans transition sur une chanson a boire dont le refrain parlait d'une bergère a la croupe altière...

Ulrich regarda les blessur...:"Humm...Elles sont superficiel..."Il sortit un flacon de sa besace et commença a badigeonner les blessur de cette mixture..."Voila,d'ici deux à toirs jours il ne restera que quelque cicatrices..."
Sur ceux,il sourit

_Merci, je te revaudrai ça! Et si on avancait maintenant? On ne va pas rester la toute la nuit!

Une fois les blessures bandées, le groupe repartit à la suite du taciturne demi-elfe.
Le voyage prit encore de nombreux jours et au fur et à mesure qu'ils avançaient au sud, le climat se faisait plus chaud, et pourtant le ciel plus sombre. Un silence de mort régnait sur la forêt à travers laquelle ils passaient en cette soirée, pas un oiseau ne chantait, pas une feuille ne bruissait sous le vent chaud et qui faisait pourtant frissonner. Les mercenaires, peu rassurés ne pipaient mot depuis un moment quand la nuit tomba, plus brusquement que ce à quoi quiconque aurait pu s'attendre. Alors que le petit groupe commençait à s'asseoir, Keltoï alluma des torches et les tendit à chacun.
— Nous sommes arrivés. Prenez garde à ce que vous faites.
— Mais, nous n'attendons pas le jour ? osa demander Ulrich.
Seul le silence lui répondit, alors que Keltoï dégainait son épée en main droite.
— Cela fera une fresque romanesque époustouflante ! s'exclama Gaël en riant de joie, bien que personne ne fut dupe de cette joie qui masquait juste l'effroi se saisissant de tous.
Ils commencèrent donc à suivre le demi-elfe jusqu'à ce que Tobias les arrête :
— On dirait que nous sommes attendus...
A la lueur vacillante des torches, on distinguait cinq squelettes portant des hallebardes, dont on voyait malgré l'obscurité qu'elles portaient sur elles la trace du temps.




******

Les squelettes sont moins rapides, mais bien plus résistants que les brigands et je compte sur vous pour des combats assez détaillés. Cinq-six lignes me paraissent un strict minimum.
Bon combat.

Gaël tremblait de peur, les créatures lui glaçaient le sang. Combattre des humains s'était uen chose, mais ces monstres...
*Du calme mon vieux Gaël, pense à quand tu chantera cette histoire a tes petit enfants en t'acompagnant de ta harpe et en enjolivant les détails les plus romanesques...
A condition d'avoir des mains pour jouer.
A condition d'être encore là...*
Il empoigna fermement son bâton et entreprit un repérage tactique de loin de la situation ainsi qu'un préparation à une manoeuvre de repli stratégique si la situation tourne mal.

La Hache ne faisait pas la différence entre les morts et les vivants, pour lui cela revanait au même: taper jusqu'à que ça ne puisse plus bouger. Il sortit donc ses deux haches et s'avanca un peu.
_Je vais renvoyer ces sacs d'os dans leur tombe! Qui m'accompagne?

Le grand noir plaisanta :
"- Oh je ne vais pas p'end'e le temps de che'che' leu' tombe."
L'énorme homme se plaça à côté de la Hache et évalua la lenteur et l'arme de ses adversaires.

Gaël réussit à dompter sa peur pour avancer lentement à la suite de La Hache. A ce moment, un squelette tituba vers lui en levant sa hallebarde. Ne voulant pas prendre de risque, Gaël se mit hors de portée de l'arc mortel de l'arme. Ce sac d'os avait la même allonge que lui. Il allait falloir rentrer dans le tas. Les 4 autres ne paraissait pas se préocuper de lui, c'était le moment ou jamais. Le jeune barde pris une profonde inspiration et fit décrire un grand arc circulaire avec son bâton en y mettant toute la force possible. Le coup était simple et le squelette para avec aisance, mais alors que le bâton de Gaël rebondissait le manche de la hallebarde, Gaël effectua un rapide demi tour sur lui même et abatit son bâton sur l'autre flan du squelette. Celui ci fut trop lent pour parer et Gaël entendit ses os craquer. Mais le squelette ne parut pas s'en formaliser. Bien que Gaël se soit entrainé plusieurs fois seul à réussir ce coup, l'acomplir dans des situations aussi troublante lui fesait perdre de son efficacité. Il adopta une position tactique d'observation. C'est à dire reculer vers ses camarades pour éviter d'être blessé.

La Hache profita de l'occasion de se battre: il se jeta sur le suelette que Gaël avait engagé. Il parra la lente hallebarde, et commenca à frapper le squette. Evitant la hallebarde, il donna un coup sur les cotes. Il recula, dévia la hallebarde et essaya de briser le bras. On entendit un craquement mais cela n'avait aucun vrai effet sur le squelette. Il se fendit quand le squeltte donna un coup hargneux vers l'avant et donna un grand coup avec toute sa force et ses deux haches en même temps sur le bassin. Ctte fois, le squelette vacilla et recula, et La Havhe en profita pour un autre coup inéfficace sur la colone vertébrale, mais fut égratigné par la hallebarde. Il recula, se préparant à un nouvel assaut.

Y voyant une occasion, Gaël contourna le squelette et envoya un coup circulaire derrière les genoux. Surpris, le mort vivant tomba en arrière.
Jettant son bâton, Gaël empoigna le manche de la hallebarde du squelette pour la bloquer. Aprsè une brêve lutte, Gaël parvint a créer une grande ouverture dans la garde du squelette juste au niveau de son torse.
"A toi La Hache" Cria t'il.

La Hache ne se le fit pas dire deux fois, il rangea une hache, prit l'autre à deux mains, et frappa de toute ses forces le torse du squelette, qui fut presque séparé en deux parties. Le squelette s'effondra, et la Hache donna un autre coup sur le crane pour l'achever.Il fut fendu en deux. Il ressortit son autrre hache, fit un clin d'oeil a gaël qu'il commencait malgré out a apprécier, et se mit en garde en face d'un autre squelette.