Call of Aliens

Thyriel détourna le regard de son interlocuteur. Il parla à son capitaine.
_Sa me va. Je resterais bien sûr... [seul le capitaine peut comprendre pourquoi dans le RP, mais en vrai je pense que vous pouvez devinez...]

"- Compris chef ! Toute façon on le savait déjà ! Tu...vous devriez sourire desfois... Bon... Je vais vérifier les oscillateur haute fréquence. Les réacteurs marchent nickel ou pas finalement ? On les a pas vraiment testé en fait... bon... vous me répondrez la prochaine fois -reprenant le tutoiement- t'as pas l'air réceptif..."
RadicalEdge69 brandit son tournevis et farfouilla dans sa ceinture et en sortit la petite commande sui pilotait son servo crâne, elle l'avait appelé "coco" et il était venu..... Il arriva dans un bourdonnement et un crépitement d'ozone.
"- Allez coco ! On va voir les oscillateurs haute fréquence..."
Le servo crâne qui était presque à la même hauteur que sa maîtresse la regarda d'un oeil vitreux et inexpressif et sembla acquiesser en la suivant. S'il avait eu des épaules il les aurait sans doute haussé pour exprimer son deséspoir : il avait été repeint en orange et des tas de bidules servant à un tas de fonctions diverses et pas forcémment pour le travail ornait sa structure semi métallique.

Se secouant, le Capitaine alla jeter lui aussi un oeil aux moteurs. Au début des voyages, il était toujours léthargique et lent, ce qui ne durait qu'un temps. Arrivé derrière la mécanicienne, il remarqua :
"Jolie couleur ton servo-crâne. Quand aux moteurs, ils fonctionnent évidemment bien. Ca se voit que tu n'étais pas là quand on a faussé compagnie à une ligne de bataille menée par le Lord Solar Macharius... Une dizaine de vaisseaux de lignes, des frégates comme s'il en pleuvait, et pourtant... Ne t'en fais pas, pour le moment ils fonctionnent nickels."
Un bref sourire, il se retourna et ajouta par dessus son épaule :
"Pour le moment."

Regardant le serco crâne orange repartir, Llena soupira. Elle ne pouvait pas supporter cette mécano exentrique. son espèce de joie de vivre déplacée sur un vaisseau de contrebande, son entousiasme et son optimisme. Mais bon, depuis qu'elle avait refragmenté la cellule de donnée des comandes d'armements, celle ci répondait avec plus de fluidité. Elle devait lui en être reconnaissante, surtout aveuc eux. Elle n'avait toujours pas eut de leurs nouvelles, mais cette caisse, cette diabolique caisse. Llena pria qu'ils ne l'aient pas retrouvé mais au fond d'elle, elle savait que c'était inutile. L'Empereur avait il répondu a ses prières quand...
Non, il ne fallait pas qu'elle y repense, ses cauchemards étaient déja suffisament horrible, si en plus ils venaient la hanter pendant la journée...
Elle éprouva un intense besoin de s'allonger. Elle se leva en titubant, manquant de faire tomber sa chaise et d'un pas mal assuré, quitta la salle...

L'aigle regarda tout alors ses compagnons:"Pffffff...De mon temps on engageait pas des femmes dans Les G.I!Regardez!Déja fatigué oou complétement starbe!!"L'ex-guarde avait exprés dit ceci dans l'espoire de faire réagir les membres de l'équipage...Il adorait voire des femmes en rogne contre lui...Cela lui rappelait sa jeunnesse et le jours où cette Laura Bralison lui avait donner un énorme coup de pieds dans le postérieur...Il s'en souviendrais à jamais!Puis il touna sa tête vers la boite
"De toute façon,sa sent la sorcelerie de psykercomme et pas besoin de lire le petite guide du garde impériale pour le deviner...

Klaus était retourné s'adosser un peu plus loin après que Thyriel ait refusé de répondre. De toute façon, il savait qu'il ne lui dirait rien. Il aurait aussi bien pu laisser tomber, mais il était bien trop curieux pour ça. Il enquêterait dans son coin.
Depuis le coin sombre d'où il voyait toute la pièce, il avait observé la mécano excentrique et les réactions qu'elle avait engendré chez les autres. C'était étonnant de voir comme les originaux suscitaient selon les gens du compassion, du mépris ou de l'amusement. Lui, il l'aimait bien, la petite mécano. Elle était sans doute un peu plus normale que lui, mais suffisamment décalé pour qu'il l'apprécie.
Cependant il l'oublia totalement quand le capitaine fit mention de la récompense. S'il y avait suffisamment en jeu pour leur permettre à tous de prendre leur retraite, c'était que ce qui se trouvait dans cette boîte avait de la valeur.
Après avoir vérifié que personne ne faisait attention à lui (comme d'habitude), il sonda la caisse. Un sentiment de terreur le glaça jusqu'à la moëlle.
*Je ne sais pas ce qu'il y a là... mais ça ne me dit rien de bon. Mieux vaut rester vigilant.*

Son interlocuteuse venant de la quitter ,Bob décida d'aller se reposer dans le compartiment ou il s'était installé .Il était vraiment exténué depuis déja quelques jours et avait parfois des mal de tete spontané...
S'alongeant dans son petit lit à couchette du dessus ,il repensa à quelques batailles desastreuses ou il vit ces hommes sans défense mourir sous les forces maléfiques avant de s'endormir .

RadicalEdge69 enfonça sa casquette sur ses couettes et saisit sa clé à molette laser avant de dire d'un ton qui n'admettait pas de réplique :
"- Yaouh ! C'est reparti mon petit coco ! Allez hop, on va voir si on peut pas bidouiller la commande antigrav pour pouvoir régler la gravité par secteur... Ca serait rigolo en cas d'attaque, allez hop au boulot ! nanolaser s'te plaît !"
Le servo-crâne émit un bourdonnement et un long tube fluo sortit du crâne avec un désintéréssement total. Radical Edward le saisit et l'introduit dans la maquette d'antigravitation. Elle vissa un petit objet dans le tube et la fibre optique conduisit la lumière jusqu'à l'embout. Le laser coupa le coupleur antigravité, désolidarisant chaques cellules. Il restait à connecter chaque cellules à une commande... bon... Elle sortit une panoplie de fils de sa sacoche et en connecta un a chaque cellule et demanda à Coco de passer dans le conduit d'aération longeant les gaines et de conduire le fils par aimantation jusqu'à la cabine de contrôle, pour le connecter à un nouveau tableau de commande. Elle ajouta sur sa télécomande plusieurs boutons et quelques fonctions, comme contrôler la gravité du vaisseau par cellule, cela demandait de plus en plus d'astuce parce qu'il fallait sans cesse inventer de nouvelles combinaisons mais... Elle jaillit alors du petit espace, accrochant au passage une connexion... provoquant un court circuit dans la maquette antigrav'... *ohoh*
La gravité fut coupé dans tout le vaisseau et elle entendit un grand BOUM, coco s'étant sans doute cogné dans l'étroit conduit... *et zut... le patron va me tuer*. Elle nagea difficilement vers la petite cabine et sortit un soudeur laser, tendant de rétablir le contact. *ouf...* Un grand choc ébranla le vaisseau quand les personnes et certains objets retombèrent sur le sol. Pour faire bonne mesure elle hurla en sautant de joie :
"- Hourra !! J'ai réussi à désolidariser les capsules antigrav' !! Bravo coco ! - elle se mit alors à courir partout- Patron ! Patron faut que je vous montre la nouvelle commande !!"

Le Capitaine répondit aux appels, l'air profondément lassé.
"Je suppose que cette commande a rapport avec la gravité qui a brutalement cessé, puis repris ? La prochaine fois, préviens avant, et même mieux, bricole à quai, ca évitera des déconvenues en cas de bataille..."

La jeune fille se gratta la tête, l'air contrarié :
"- Euh... bah oui... Les commandes c'est comme d'hab vous choisissez le numéro correspondant à la cellule que vous voulez dégravitationné -yeux rieurs- ou non et vous appuyez sur le bouton correspondant..."
Puis elle fit un grand sourire et entreprit de dégager coco qui s'était coincé dans un fatras de fils...

Le voyage dura ainsi plusieurs jours, Démacleute se reposait quand il le pouvait, c'est-à-dire quand l'espace Warp devenait moins tumultueux, quand il n'y avait pas de tempête ni de corps pesant dans le secteur. Pendant les voyages dans le Warp il ne sortait jamais de sa bulle, étant nourri par les tuyaux branchés à divers endroits de son corps, et ses cellules mortes éliminées par aspiration.

A la fin du douzième jour de voyage, la voix bégayante de Dédé se fit à nouveau entendre dans les hauts-parleurs de la cabine.

"- Euh... N-n-nous sommes à cent-vingt unités astrono-no-no-nomiques de De-de-de-deloris Quinque, j'engage la p-p-p-procédure de retour d-d-dans l'espace no-no-normal."

C'était toujours ainsi, ils devaient sortir du Warp à une distance suffisament grande de tout corps massif pour éviter de subir la perturbation engendrée.
A nouveau, tout l'équipage eut la sensation bizarre d'être partiellement à deux endroits éloignés à la fois, une sensation qui même après des dizaines de sauts Warp était toujours aussi troublante et désagréable.

Après ce court instant, le visage du capitaine Cain afficha une expression d'intense stupeur. Cela fait généralement cet effet lorsqu'on se retrouve nez à nez avec un croiseur de guerre impérial, que l'on sache ou pas que la cargaison que l'on transporte est illégale.



Cinq kilomètres de long, six tubes à torpilles et dix canons laser de proue, cinquante lance-missiles, cent-vingt tourelles laser et soixante obusiers en bordée, une baie d'embarquement de chasseurs, pouvant contenir jusqu'à quarante walkyries, et les deux terrifiants canons nova de chaque côté, des monstres mesurant le quart de la taille du croiseur, pouvant libérer une énergie si puissante qu'un tir pouvait détruire un croiseur ennemi d'un seul coup.

A côté, le Fides Veritas était d'une taille microscopique. Il pouvait rentrer tout entier dans la bouche d'un des obusiers.

"Oups. Y'a co-co-comme un léger p-p-problème..." fit la voix de Dédé dans le haut-parleur.

"Ooooh, merde, par les saintes-culottes de l'Empereur !"
Il activa plusieurs interrupteurs à une vitesse faramineuse et entreprit des manoeuvres d'évitement.
"Thyriel, donne-moi toute la puissance sur les moteurs, rien sur les boucliers ; s'il veut nous vaporiser, boucliers ou pas, on l'aura dans l'os ; pareil, signale-moi si tu détecte quoique ce soit approcher. Je m'occuper des commandes. A tout l'équipage, tous aux postes de combat, je répète, tous aux postes de combat ! J'engage les procédures d'évitemment !"
Parlementer ne servirait à rien. Son vaisseau avait été volé, son équipage pas très légal, et sa cargaison surement pas, vu le prix. Il préféra accélérer à toute vitesse en entament des manoeuvres destinées à gêner les tirs adverses. Sa vitesse pouvait distancer même la dernière génération de chasseurs d'attaques, alors les vaisseaux de lignes... Il gardait même deux ou trois techniques dans sa manche, au cas où l'affrontement durerait.

Une voix ferme avec un ton extrêmement froid parla à la radio.

"Ici croiseur "Marteau du Jugement", veuillez décliner identité, type d'appareil et cargaison. Il s'agit d'un simple contrôle de routine. Nous envoyons une navette d'inspection. Restez calme et tout se passera pour le mieux."

"Capitaine ,dit doucement ,je remet pas vos conditons en doute mais...Ce vaisseau est un sacré morceaux...Le capitaine lui lança un regard noire...,Ok,je retourne à mon poste..."L'aigle retourna à son poste de tire...Et il marmonna"L'Empereur nous garde!"

Thyriel avait beau se plaindre qu'il donnerait toute sa mesure que dans un appareil eldar, c'était malgré tout un pilote hors paire, il poussa les commandes à fond, transféra toute l'énergie des boucliers et un bonne partie de celle des armes vers le réacteurs, engagea la populsion secondaire, enclencha la réseve d'énergie de secours, le tout en un temps record, puis aida son capitaine à a piloter, se préparant à l'aider à faire des acrobaties pour éviter les tirs.
_Capitaine, si vous avez besoin d'aller sur le vaisseau, soyez assuré que je piloterais. Le radar n'indique rien, je le surveille même en vous aidant. On se retrouve au royaume de Khaine!

Le Capitaine coupa la radio externe.
"Sacrés jacasseurs... Ca m'étonne qu'ils ne m'aient plus sur leurs fiches, alors que mon transpondeur n'a pas été bricolé... Et je te remercie pour ton aide, Thyriel. Gros morceau, peut-être, mais pas le plus gros que j'ai vu ! A tout l'équipage, faites juste des tirs de semonce, afin de leur faire passer l'idée d'approcher... Evitez de détruire la navette, ca les rendra fous..."
Il entama un passage en ligne droite à toute vitesse, enclanchant un mécanisme pirate qui lui avait coûté une fortune : un détecteur de verrouillage avec brouilleur intégré. Juste de quoi lui laisser le temps de sortir de la ligne de mire des tireurs.

Le mécano devînt soudint sérieux et RadicalEdge69 vînt se placer derrière le capitaine :
"- Je pense que vous apprécierez les contremesures... spéciales. Elle sont évidemment à disposition et... ah oui... Pour les missiles à guidage magnétique j'ai installé un inverseur grande vitesse de polarité sur les contre mesure et les missiles aussi... ça fait toujours bizarre aux systèmes de guidage magnétiques quand ils n'arrivent pas à s'adapter au changement de polarité et qu'ils explosent en vol ou qu'ils modifient totalement leur trajectoire... Sinon on peut toujours ce jeter dans la gueule du canon nova, ça m'étonnerait qu'ils aient des capteurs à l'intérieur -elle éclate de rire."
Elle se mit sur le pont inférieure et, consciente qu'elle ne pouvait pas grand chose, se mit à rêvasser...

Quelques minutes après l'annonce ,malgrès tout le vacarme, Bob sortit enfin en trombe de la cabine comprenant peu ce qu'il se passait .
Il divaga rapidement dans le vaisseau et trouva la femme humaine un peu fofolle comme il avait pu le remarqué mais qui semblait assez sympa qui lui résuma la situation ...
Bob qui croyait encore réver et sortir d'un film grosbilliste Cadien préféra pas trop chercher et se retourner pour avancer lentement et fatiguement ,encore les yeux collés ,vers sa cabine ...

Un seul tir de tourelle laser du croiseur réduisit les boucliers du Fides Veritas à néant et endommagea les propulseurs. Un laser de cette puissance, ça ne se dévie pas ni ne s'intercepte.

"Dernière sommation, prière de répondre ou nous vous abattons." fit la voix froide.

Ils sont précis les bougres, faut pas rigoler avec eux pensa Démacleute.

Dans l'impossibilité d'accélerer suffisament à cause des dégâts subis sur les propulseurs, il aurait été peu sage de continuer à fuir.

La navette arriva rapidement à portée du Fides Veritas et s'arrima à son sas.

"L'équipe d'inspection est prête. Veuillez déverrouiller votre sas s'il vous plaît."

La Capitaine émis un sifflement agacé.
"Trois secondes de vol stationnaire et ils touchent ! Vraiment forts. Bon, Rad', va réparer tout ca."
Puis, à la radio :
"Ici Fides Veritas, bien recu. Joli tir, Capitaine. A tout l'équipage, dans la salle principale."
Il activa l'ouverture du sas et quitta la paserelle. Il allait recevoir ses hôtes forcés. Il se demandait encore ce qu'il allait faire, après tout, il verrait.
"Rad, tu as cinq minutes pour réparer les propulseurs !"

La radio grésilla.
"Merci. Nous nous excusons pour ce désagrément, mais nos capteurs avaient détecté le verrouillage d'une de vos armes sur notre coque. Peut-être était-ce une erreur, mais dans le doute nous ne pouvions pas faire autrement."

Le capitaine du Marteau du Jugement était poli mais son ton, hautain et froid, restait exactement le même, et cela signifiait "bien essayé mais nous ne sommes pas dupes". Vincent n'avait pourtant même pas eu le temps de verrouiller sa tourelle avec précision sur le croiseur, sa seule activation et son mouvement de rotation avait suffi à mettre la puce à l'oreille aux détecteurs du croiseur.

Malgré toute la bonne volonté dont elle pouvait faire preuve, RadicalEdge69 savait très bien que cinq minutes ne suffiraient pas à réparer les dégâts sur les tuyères. Cela demandait une sortie extravéhiculaire en combinaison spatiale, avec tous les risques que cela comporte. De plus le sas était déjà occupé par la jonction avec la navette d'investigation. Ils étaient enfermés à l'intérieur de leur vaisseau.

L'équipe d'inspection passa le sas et arriva devant le capitaine Cain. Dix soldats des troupes de choc de la Garde Impériale armés de leurs redoutables fusils radiants, deux serviteurs, un scribe, un technaugure et un officier en tenue d'apparat.

L'officier ordonna au technaugure de prendre les deux serviteurs avec lui et de commencer l'inspection.
Le scribe s'avança, sortit un rouleau de parchemin et le lut comme s'il annonçait le menu d'un repas de mariage : "Vous êtes coupables, selon l'article 4589ZKIE-23b paragraphe 155 alinéa 7, d'une tentative d'outrepasser le contrôle légal d'un navire de la Flotte de l'Empereur de Terra, ainsi que d'un signe d'hostilité vis-à-vis de ce même navire. Nous vous demandons aimablement de laisser notre équipe d'intervention inspecter votre vaisseau en vue d'une recherche d'informations concernant votre état de vol, la provenance de votre appareil et la légalité de sa cargaison."

L'officier prit alors la parole avant que De Felger ne puisse répondre. "Ayez l'obligeance de ne pas entraver notre travail, votre situation n'en serait qu'aggravée et tout ce que vous ferez en ce sens pourra être retenu contre vous. S'il vous plaît veuillez répondre à quelques questions : vous êtes le capitaine de ce rafiot, c'est bien ça ? Votre identité ? Votre point de départ ? Votre destination ? Que transportez-vous ? Pourquoi avez-vous refusé de coopérer ? Quel est votre âge, capitaine ? Aimez-vous la musique classique ? Moi j'adore."

"Dans l'ordre : je suis le Capitaine Cyril de Felger, en départ d'Agata Secondus, à destination de la station Deloris Quinque. On transporte une caisse fermée hermétiquement, avec interdiction de l'ouvrir. Si j'ai refusé de coopérer, c'est parce que vu que je ne sais pas ce que la caisse contient, je ne sais pas si c'est légal ou pas. Quand à la personne qui a menacé d'ouvrir le feu contre mes ordres, je m'en occuperais personnellement. Et la musique classique, j'aime bien.
Le Capitaine restait debout et droit. Même si c'était une équipe d'intervention, il était seul maître à bord après l'Empereur...

Thyriel hésita sur la marche à suivre.
*Si ces sales mon-keigh découvrent que je suis un eldar... Bon, je n'ai pas le choix, je vais avec les autres, s'ils ne me regradent pas attentivement de près en m'ayant ordonné d'enlever ma capuche et mon foulard... Et mon fusil et mon épes sont bien cachés et protégés, pas de risques de ce coté là.*
Il alla donc avec les autres membres d'équipages dans la salle principale, après avoir envoyé un regard au capitaine voulant tout dire.

A ce moment, la radio personelle du capitaine grésilla a son oreille et la voix ténue le Llena se fit entendre :
"Capitaine, j'ai préparé la surcharge des canon a plasma de la batterie d'arme, un seul mot de vous et je relâche la pression pour leur faire voir le plus beau et le dernier feu d'artifice de toute leur carrière. C'est dangereux, limite suicidaire, mais si les choses tournent mal, l'explosion devrait arracher les saletés qui nous retiennent ici et aveugler leurs capteurs."
Le léger tremblement dans la voix de Lléna dénotait qu'elle même n'était pas sure de la réussite de la manoeuvre mais qu'elle mettait tout en oeuvre pour protéger le vaisseaux.