Call of Aliens

Deloris Quinque fut bientôt en vue. il s'agissait d'une planète géante gazeuse, cinq fois plus massive que Jupiter, colorée de gris et de brun. Le Fides Veritas se laissa capturer par l'attraction de la planète géante. Au bout d'un moment la station orbitale fut enfin visible.



C'était une base de recherche de l'Imperium, aussi grande que trois barges de bataille, et dont l'armement défensif, bien que ridicule face à l'arsenal d'une forteresse orbitale, suffisait largement pour dissuader tout vaisseau de guerre aussi grand soit-il d'afficher des intentions hostiles. Autant dire que si le Fides Veritas à côté d'un croiseur impérial avait l'air d'un moucheron, à côté de cette station il n'était plus guère qu'une bactérie anorexique.

Le moment du contact radio était venu. Cain demanda l'autorisation de débuter la procédure d'approche.

"Autorisation accordée, Fides Veritas. Réduisez votre vitesse. Arrimez-vous au ponton n°16."

Les rétrofusées ralentirent le vaisseau sans un bruit, car dans le vide le son ne se propage pas, et le transporteur arriva en douceur pour s'arrimer au dock. Une fois ceci fait, le sas du vaisseau fut connecté à la station par une passerelle pressurisée flexible.

"Bienvenue à la station Deloris Quinque" leur annonça une voix artificielle sans timbre.

Thyriel se détacha, et parla au capitaine:
_Autorisation d'aller me balader en ville ou dois-je attendre la livraison?

Llena qui s'était de nouveau rendue a la cabine de pilotage pris la parole.
"J'aimerais aussi me joindre a Thyriel si vous n'y voyez pas d'inconvénients."
Elle jetta un regard a Thyriel suffisament appuyé pour qu'il comprenne qu'elle souhaitait lui parler.

vincent s'approcha du capitain...:"On a eut chaud cap'tain...Sinon,j'aimerais bien aller en ville aussi...Disont que j'ai quelques....Achats....Le visage de Vincent était parcouru par un immense sourire...

"Deux secondes les jeunes. D'abord la marchandise. Ensuite les achats. Vous voudriez pas passer à côté de votre caisse retraite quand même ?"
Ouvrant la coupée, il descendit, pistolets en évidence. Il chercha du regard des hommes pour descendre la ciasse, en regardant au passage les hommes à qui il devait livrer la caisse devant lui, en nombres aussi...

RadicalEdge69 n'aimait pas les géantes gazeuses, même à cette distance on se sentait écrasé par la pesanteur gigantesque, ses flotteurs antigrav' qu'elle avait conçu lui permettait de marcher à peu près normalement même si un hipopotame aurait eu plus de grâce mais sa petite taille et sa masse ridicule ne lui facilitait pas la tâche, elle se sentait étouffée et avait hâte de partir. C'est en broyant du noir qu'elle déclama :
"- Capitaine, faudra réparer les réacteurs aussi... pfiou..."
Elle s'en alla en traînant les pieds...

Lorsqu'ils émergèrent de la passerelle gonflable dans la station, ils n'eurent pas le temps de souffler. Un grand homme en blouse blanche sale, visiblement un scientifique, les accueillit. Il avait le crâne rasé, des implants bioniques dans le cou et aux tempes, et des lunettes noires à verres ronds, ce qui, ajouté à son sourire carnassier, lui donnait un air tout à fait particulier... On aurait dit qu'il avait plus de dents que sa mâchoire, pourtant large, ne pouvait en contenir. Des poches de sa blouse dépassaient diverses seringues et divers scalpels. Cain devina tout de suite que c'était à lui qu'il devait donner la caisse blindée.

"Bien le bonsoir, messieurs-dames. Je suis le Magos Biologis Stefan Boltzmann. Vous devez avoir quelque chose pour moi et mon équipe."

Démacleute, qui était sorti de sa bulle de navigation et avait suivi les autres, marmonna :

"Un Magos Bi-bi-biologis... dans la caisse que nous transpo-po-portions ce n'était pas du matériel mé-mé-médical je présume..."

"Uniquement si vous avez le reste de l'argent, comme convenu."
L'argent changea de main, et les hommes de Boltzmann descendirent la caisse, peinant sous son poids.
"Parfait. Vous pouvez aller où vous voulez, mais gardez toujours votre comm allumé. Si ca chauffe, je lance un appel et au bout d'une demi-heure je me barre. Tant pis pour les retardataires. En attendant..."
Le Capitaine fit le tour et commenca à examiner les moteurs, notant juste la carcasse délabrée dans un coin du dock et les armes de défenses impresionnantes à l'entrée du dock.
"Rad ! Tu peux amener les outils s'il te plait ?"

*Parfait songea Thyriel*
Il s'éloigna donc discrètement et disaput rapideemnt dans la station. Il devait trouver son contact. Il se mit à marcher dans des endroits de plsu en plus sombres. Il avait encore une bonne dizaine de minutes de marche. Il faisait attention, car ici, nombreux étaient ceux prêt à attaquer les passants...

Llena vit enfin la caisse partir, elle ne savait pas pourquois mais elle en était soulagé. Sans doute par ce qu'elle allait toucher sa part de récompense se dit elle.
Elle se dépècha pour ratrapper Thyriel qui s'aprétait a partir et ne le lachat pas d'une semelle en attendant qu'ils soient suffisament loin des autres pour discuter.

Dans une ruelle sombre en cul de sac, vide, Thyriel se retourna brusquementet s'approcha de Lléna.
_Bon, je suppose que tu veux qu'on parle?

Klaus regarda les autres sortir les uns après les autres sans bouger. Lui, n'avait pas l'intention de bouger d'ici. Il s'y sentait plus en sécurité, avec personne pour détecter ce qu'il était. Puis il alla voir le capitaine :
— Alors on saura jamais c'qui y avait dans la caisse ?

RadicalEdge descendit en trainant les pieds, elle flâna dans le marché en oubliant sa com évidemment. Heureusement coco la suivit et lui en avait une... sur silencieux... En voyant des scoubidous fluos elle reprit des couleurs et en acheta un qu'elle accrocha dans la seconde sur la tête (forcémment pour un crâne..) de coco qui bourdonna de mécontentement. Soudain une brute la souleva par le col et lui dit :
"- Eh poulette ! Tu devrais pas te balader seule ici, c'est plein de vilains garçons...
- Ah ou? dit-elle tout sourire"
Elle donna un coup de pied dans l'entrejambe de l'homme, ce qui ne l'ébranla pas d'un pouce. Par contre la décharge qu'elle lui envoya avec son zippeur de charge lui secoua beaucoup plus les puces. Il avait le bras tout engourdi. Coco se mit au niveau de la tête de l'homme et le regarda d'un air morne. Une petite pince sortit de sa tête tenant un étrange objet rond. Lorsque celui ci fut appliqué sur le front de la brute il s'effondra secoué de spasmes. Tout ça c'était déroulé très rapidement et l'homme sonné n'avait pas eu le temps d'enlever le micro générateur de pulsions. La machine sphérique délivrait une énergie considérable et suffisait largement a secoué même une brute aussi épaisse. Cependant RadicalEdge69 ne s'attarda pas d'avantage et après avoir acheté une babiole pour le capitaine elle rentra au vaisseau.

"Franchement, cher Klaus, tu devrais faire comme moi : ne pas chercher à savoir. Je préfère ne jamais ne serait-ce qu'avoir une idée de ce que je transporte. Ca évite la tentation de le piquer."
Le Capitaine était la tête dans le compartiment moteurs, les mains farfouillant à une vitesse folle. Il s'évertuait à réparer son tas de ferrailles le plus vite possible. Epreuve de vitesse, pour tester ses capacités mais aussi au cas où...
"En tout cas, dès que ca sera réparé, je partagerais la prime/"

On finit par voir Thyriel et Llena revenir au vaisseaux. Llena n'arborait pas sa traditionelle expression morose et semblait presque sourire. Elle resta néanmoins distante et ne parla qu'avec Thyriel. Cependant, les rares qui purent entendre leur conversation n'entendirent que des banalités sur l'état du vaisseaux ou sur la couleur du cervo crâne a scoubidou. Elle le quitta a regret pour venir reconfigurer les comandes d'armement de la batterie de proue en compagnie de RadicalEdge69 (pas sur de l'ortho) et donne presque l'impression d'être sociable.

Dédé avait mit un moment avant de s'éloigner du vaisseau. Hors de sa bulle de navigation, il se sentait totalement perdu. Mais la curiosité le poussa à s'aventurer à quelques mètres de l'endroit où ils avaient été accueillis par le Magos Biologis Boltzmann. Il lui fallait de l'Espace avec un grand E, il se sentait décidement trop à l'étroit quand il ne pouvait observer les étoiles. Il chercha donc au hasard dans la station où il pouvait bien y avoir une baie vitrée...

Thyriel une fois rentré, alla s'enfermer dans sa cabine. Il sortit des chargeurs étranges de son manteau et les cachas dans le double fond de son coffre. Puis, il s'allongea sue sa couchette et s'endormit tranquillement.

Bob qu'on avait à peine apercut lors de l'arrivée dans la station se leva tranquillement de sa couchette dans la quelle il était resté pendant des heures pour ratraper plusieurs nuits de someille manquées .
*Bon va ptre falloir se bouger là ...*
Le medic ratacha sa ceinture où était encore acroché son équipements et laissa son fusil laser sur sa couchette pour sortir enfin de la chambre de 2 personnes et s'avancer vers la sortie observer quelques instants la station

Cela faisait un moment que Dédé était parti, et nul ne l'avait vu revenir. Cela ne lui ressemblait pas de s'éloigner autant et de s'absenter si longtemps, lui qui était d'habitude mal à l'aise en dehors de sa bulle de navigation.

La station passa dans l'ombre de la planète géante, ce qui marqua la fin de la journée. Les néons blanchâtres de l'éclairage de jour s'éteignit et l'éclairage de nuit se mit en marche, toute la station plongea alors dans la pénombre, les coursives étant éclairées seulement par des lampes rouges à faible puissance.

Après un très long repos d'une heure, Thyriel fut réveillé par le bruit, et décida de sortir. Sortant de sa cabine, il décida d'aller vérifier les circuits informatiques, dont il était responsable. Après avoir fait une vérification complète, il s'apercu qu'il y avait une pièce manquante sur le circuit du moteur auxilliaire gauche, ce qui diminuait la précision de certaines maneuvres. Il alla dans un endroit ou il pouvait trouver de tels chose, mais sur le chemin, il passa dans une ruelle sombre... Trois hommes firent un mur devant lui, et Thyriel s'arrêta. Sans parler, les hommes se déployèrent autour de lui. L'un prirt enfin la parole.
_Les rues ne sont pas très sûres, il est imprudent de se déplacer seule dedans. Pour une chance de vivre, payerez vous quelques billets?
Thyriel les regarda, et avec une vitesse inhumaine, se jeta sur le plus proche, qui fut désatabilisé par cet assaut surprise et ne put évité la botte de Thyriel qui le ceuillit dans le ventre, l'envoyant au tapis avec au moins une côte cassée. Thyriel se retourna vers les deux autres.

Aussitôt, un tir le cueillit à l'épaule droite, l'envoyant voler au sol. Un projectile à poudre, a priori assez puissant, qui lui faisait souffrir le martyre. Et qui monopolisait ses sens, l'empêchant de bouger. L'homme qui avait tiré s'approcha légèrement, trop loin pourque le mâle allongé puisse tenter quoique ce soit sans se faire tirer une nouvelle fois dessus.
"Ne nous prends pas pour des billes. On est pas des bleus, on s'est battus pour survivre. L'offre demeure. Quelques billets pour les soins ?"
L'autre ganger, en retrait, sortit de sa poche un petit sachet qu'il balanca légèrement. Un sachet avec un symbole de soins dessus.

Et le petites...Il retouner jouer dans avec vos figurinnes mignature...C'était Vincent qui venait de parler...Il avait remarqué les trois brutes et il avait bien fait de les suivre...L'un des bandits commença a sortire une amre mais l'Aigle rit:"T'es con ou tu le fait exprés?En effet,Vincent tenaint entre ses mains un pistolet Laser...
Oui,mais nous on est plus nombreux...Répondit celui qui semblait être le chef...
Ah ouais???Tu veux essayer???"

Vncent s'approcha lentement de Thyriel sans quitter les malfrats des yeux...Il esperait que l'adeptus arbitus vienne a leur secour...

Ce ne fut pas l'Arbites qui arriva, mais un petit groupe de six hommes qui se rangea aux côtés des malfrats.
"Espérez pas d'aide de l'Arbites... Ici c'est notre domaine, à nous les gangs. Ca fait plusieurs années qu'aucun membre de l'Arbites est venu... Enfin, voici ce qui reste de lui..."
Il désigna de sa main libre, sans quitter des yeux le blessé, le fusil marqué de l'Aquilaris d'un de ses hommes. Fusil qui pointait l'ancien garde impérial, qui savait qu'à cette distance, le tir serait mortel.
"Alors, prêts à payer pour sortir de là vivants ? Ou vous préférez crever bêtement ?"